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Jake Crowley
Jake Crowley
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Humain

Jake - Tu pleurais des galaxies étant petite Empty
Sujet: Jake - Tu pleurais des galaxies étant petite   Ven 27 Sep - 15:25

identité

imagine that the life you thought you shared wasn't really there




••• Nom : Crowley
••• Prénom(s) : Jake, Mary, Hellelujah
••• Surnom(s) : Jake, c'est déjà assez court, non ?
••• Âge : 24 ans
••• Nationalité : Irlandaise
••• Ancienneté sur Pulsar :  Trois jours.

••• Alors humain, satisfait de ta nouvelle Galaxie ? ... Je sais pas. Je sais pas du tout. C'est. Ca ressemble à rien, vous comprenez ? Enfin, non. Pas que ça ressemble à rien, mais j'ai perdu mes repères. Et soyons honnête. Je sais pas si ça fait deux jours ou une semaine que je suis là. J'ai parlé à personne tellement dans le fond je suis terrorisée. En dehors de ça, non. C'est beau. Vraiment beau. Et ça change de la Terre. Pour l'instant, j'me dis que c'est des vacances. Mais j'ai peur de pas réussir à commencer une nouvelle vie. C'est bête, parce que tout le monde rêve d'un nouveau départ, et quand ça se présente à vous... Comment ça je m'égare ? D'accord, d'accord. Bah, je dirais que j'ai envie de découvrir ce monde. Et je suis sincèrement contente d'être sortie de la m.rde dans laquelle j'étais. Mais soyons honnêtes. Si je retrouve pas un quotidien, j'vais paniqué. J'ai toujours voulu qu'une vie "normale" moi. Et ça a rien de normal, ça, pour moi.
••• Comment t'intègres-tu parmi les Pulséens ? Que penses-tu d'eux ? Je suis terrorisée. J'aimerais beaucoup m'intégrer, parler à tout le monde. Mais, j'y arrive pas. Je suis quelqu'un qui a du mal a allé vers les autres, vous comprenez ? Et. Ouais, vous devez être la première personne à qui je parle. Je suis du genre à aimer le monde entier, mais aller vers les gens, j'y arrive pas. J'ai peur d'être jugée, j'ai peur qu'on me rejette. Et dans le fond, même si je connais pas l'autre, je serais blessée. Bien sûr, si quelqu'un m'adresse la parole, je serais heureuse de lui répondre, mais soyons logique. Je n'ai rien d'un tant soit peu intéressant, alors bon.
••• Penses-tu pouvoir devenir l'un d'eux, à la longue ? J'aimerais. Sincèrement. Je veux pas être quelqu'un de spécial ou d'important. Je veux être comme tout le monde. Mais je crois qu'à cause de ma bulle, j'vais avoir du mal. Vous voyez ce que je veux dire ?
••• Ton avis sur la politique ici ? En fait. J'ai rien vu de la politique actuellement. Donc je peux pas me prononcé. Après, ça m'a l'air complètement différent de l'Irlande. Ou des autres pays où j'ai vécu, d'ailleurs. Mais comprenez que, j'attends de connaître un peu mieux les choses pour juger.
••• Pas trop dépaysé dans cet environnement fantasque ? Si. Complètement. J'ai envie de crier à l'aide.
••• Vas-tu briller, humain ? Je sais pas. Oui, sûrement. C'est ce qu'on me demande, non ?


personnalité

It just existed in your head The reflection used wasn't you


Oh, tu avais bien des rêves étant gamine. Toi petite fille qui dessinait des galaxies sur tes murs pour t'évader, toi qui avais rêver d'être une grande fille que tout le monde aimerais. Mais soyons honnêtes, l'adolescence et le début de ta vie adulte t'ont détruit. Tu ne veux de reconnaissance que
dans ton travail, tu t'obstines à être une bonne Madame-Tout-Le-Monde. Quelqu'un d'invisible dans la foule. Tes amies t'aiment bien parce que tu les écoutes alors qu'elles parlent. Ton mec t'adorait parce que tu portais de l'attention aux détails. Tes parents t'admiraient parce que tu ne quittais jamais tout sourire. Et c'est ça, en gros, qui te défini. Cette jeune femme de vingt-quatre ans, qui continue ses études, paye son loyer, n'abandonne jamais et est toujours heureuse. Même quand le pire lui tombe dessus. Tu es cette femme qui passe des heures avec son appareil photo à arpenter les rues. Celle qui se créer un monde dès qu'elle est seule. Celle qui est heureuse de son quotidien et ne cherche pas l'extraordinaire. Mais tu es aussi cet enfant timide qui n'a pas grandie. Celle qui a peur des autres, qui n'ose pas aller vers les gens qu'elle ne connait pas mais parcours des terres inconnues juste pour découvrir le reste du monde. Tu es cette femme, presque lunatique, douce et agréable, qui ne dit jamais un mot trop haut. Sauf dans les relations dans lesquelles tu es à l'aide. Avec ce garçon avec lequel tu es restée quatre ans, par exemple. Avec tes amis qui t'aiment et te critiquent. Tu leur dit tout ce qui te passe par la tête. La plupart du temps sans haine. Mais ton manque de tact a parfois eu raison d'eux. Parce que tu es une handicapée des relations humaines (et autres, maintenant) soyons honnêtes.

Tu ne t'aimes pas. Sans te détester pour autant. Les seules choses que tu apprécies vraiment en toi sont ta créativité, ton esprit voyageur. Pas aventurier. Tu es complexée, et franchement, tu ne te trouves rien d'extraordinaire. Tu te demandes tout le temps pourquoi les gens t'apprécient, parce que tu ne trouve rien en toi d'enviable, ou même, d'aimable. Mais tu es heureuse de ce que l'on te donne. Aimerait parfois plus mais ne demande rien. Tes coups de blues, ils t'appartiennent. Tu ne vas pas t'épancher non plus.



Tes petites habitudes, c'était de te balader avec ton appareil photo. De sautiller dans la rue. C'était d'appeller ton meilleur ami à 6h47 le matin, lui dire que tu étais en bas de chez lui avec des croissant. Tes petites habitudes, ton quotidien que tu chérissais, c'était faire les courses, te lâcher une fois de temps en temps sur un paquet de bonbons acidulés. Oh, tes petites habitudes, c'était t'étendre sur ton lit, éteindre ton téléphone et lire un livre pour oublier que la vie était moche. Ca te convenait parfaitement, à vrai dire.


histoire

And wherever you are, land on another star


 Tu fais danser les couleurs sur tes doigts, les applique avec délicatesse sur le papier craft que tu a tendu sur tous les murs de ta chambre. Les bleus et noirs se juxtaposent jusqu'à recouvrir la totalité du blanc. Et te voilà à passer aux jaunes et aux blancs. Aux orangers et aux rouges.Tu en fait tomber sur le plancher. Ca fait quatre jours que tu ne sors de ta pièces que pour accéder à la salle de bain ou à la cuisine. Tu as douze ans, la vie devant toi. Tu voudrais devenir une grande artiste. et ce sont les étoiles qui te passionnent. Tu es heureuse, et c'est tout ce qui comte.

Tes mains tremblent légèrement. Il s'appelle Pierre, et il vient de rompre avec toi. Ce n'est pas grave. Juste le premier chagrin d'amour. Et c'est la première fois que tu brise ton sourire, à seize ans. Le problème c'est que tu es en France pour tes études. Et là, tu te sens terriblement seule pour la première fois. Mais tu ne fais rien. Il t'attrape le bras doucement et pose un baiser sur ta joue. Vous marchez doucement jusqu'à chez toi. Tu te sens mal, dans sa présence, en son contact, mais avec cette distance, avec ce silence. Il te laisse. Tu lui fait promettre qu'il ne t'oubliera pas. Il te dit oui. S'en va comme un souvenir. Tu ne l'as jamais revu. Juste une carte de lui, il y a deux ans. A l'adresse de tes parents.

Tu es joie. Ils ont acceptés. D'abord tes parents, et ensuite l'école. Il ne te reste qu'à trouver un petit job pour accomplir ta part du marché. Elle avait pleuré, ta mère. Le soir où tu lui avait annoncé que tu voulait faire de l'art, quitte à vivre dans la rue plus tard. Elle te voyait déjà faire de la physique. Ingénieur lumière, d'ailleurs. Comme tu l'avais évoqué une fois à table. Tu cherches un stylo, une enveloppe et des timbres. Remplis vite ton dossier d'inscription, vérifie les pièce seize fois avant de courir la postée. Dans deux mois, tu seras étudiante en Art. Tu feras de ta passion ta vie.

Tes cheveux passent sur ton visage à cause du vent de la baie. Tu es revenue en Irlande il y a quelques années déjà. Mais aujourd'hui, là et maintenant, tu es la plus heureuse des femme. C'est précipité. Tout va trop vite. Parce que tu as seulement vingt et un ans. Ca fait seulement deux ans que vous êtes ensembles. Et il te demande de vivre avec lui. Le plus beau jour de ta vie. Malgré ce manteau kaki qui t'arrive aux genoux. Malgré son imper ridicule. Et tes bottes de pluies. Oh, tu aurait voulu fondre en larme mes l'orage arrivant te vole la vedette. Tu l'embrasse. De toutes tes forces. Avant de lui murmuré entre deux baissé que vous feriez mieux de courir jusqu'au gîte.

Tu passes les articles à la caisse. Il a l'air bon, ce nouveau yahourt. Une journée banale comme tu les aimes. Ce matin tu as mis ton réveil à 5h49, et tu as pris une longue douche avant de te préparer. De coiffer tes cheveux en une longue tresse. Pas de maquillage, jamais. Tu as fais ta liste des courses que tu feras ce soir, après le taf'. Tu résous la grille de mot croisé, attrape tes clefs, la vieux velo dans le hall d'entré. et te voilà partie. Il est encore tôt. Pas encore sept heure quand tu compose le numéro de ton meilleur ami pour lui dire que ses viennoiseries l'attendent. Il met comme d'habitude entre cinq et vingt minutes à t'ouvrir. Et tu t'affales sur son canapé pendant qu'il prépare le café. Vous ne dites rien. Parce que la vie est simple. Tu l'embrasse sur la joue avant de partir très vite, laisse ton vélo dans son hall. Tu vas rater ton bus pour l'école. Et tout se passe normalement. Jusqu'à seize heures. Tu pars, en speed. Arrive à la grande surface où tu travailles. T'installe à ta caisse. et t'y voilà. Devant ces yahourts. Tu les rajouteras à ta liste. Ca fera un peu d'aventure dans ta vie.
Et puis tu vas pour rentrer chez toi. Cheak tes messages. Appelle ton fiancé sur la route de ton vélo. « Oui oui, je rentre bientôt. » « Tu fais une quiche ce soir mon chéri ? » « J'ai fait les courses d'appoint. » « Je vais juste prendre deux photos, et je suis là. » « Moi aussi. » « A de suite. » Et te voilà, chevauchant ton vieux velo. Tu ranges tes courses dans le panier. Et tu roules. Jusqu'à arrivé un peu loin. Tu te perds dans les ruelles, sort ton appareil. Le monde est crade. Le monde est salle. Tu te rappelles des photos de magasines où on parlait pas encore de déclin. Ici c'est la m.rde. T'as que ton art et ton quotidien pour te rendre heureuse. Mais soyons honnêtes. Ca te suffit largement.

Tu lui dit que non. Que c'est fini. Et ça te brise le coeur. Il veut un gamin. Tu n'en veux pas. Pas dans ce contexte là. Tu n'as que vingt-trois ans. Bientôt vingt-quatre si on y pense. Tu viens de finir ta cinquième année, mais tu voudrais continuer les études. C'est pas ton boulot de caissière à mi-temps qui aidera à nourrir une bouche de plus. Et lui ne va pas bien. Sa soeur, qui a réussi sa vie, s'est barrée ailleurs sans l'amener. Elle avait de la thune, elle nous en a jamais donné. Et savoir que la thune a plus d'importance que lui, ça l'a tué. Et tu le tues encore une fois avec ce non. C'est fini. Il dit qu'il va trouver un motel quelques semaines. Tu lui dis que non. Tu déménages chez Magdalene. Ne prend qu'un sac et ton appareil photo. Le reste sera pour plus tard.

Tu sautilles dans la rue. Saute à pieds joints dans une flaque d'eau parce que personne ne te regarde. Ca fait six mois. Tu refais ta vie dans ce petit T1 en centre ville. Ca te change de la périphérie. De temps en temps tu as le blues, puis tu penses à tout ce que tu n'as pas vu, et ça te rend heureuse. Alors tout va bien.

Tu ris. Fort. Tu embrasses tes amis. Leur dit au revoir. C'est la fin de soirée. Tu rentres du pub légèrement trop arrosée. Et d'un coup tu ris. Encore plus fort. Exaltée aux possible. Comme si toute ta peau transpirée d'une montée d'acide. Tu planes. Un instant. Ca ne t'étais jamais arrivé. Puis tu te caches les yeux. A cause de cette lumière trop vive. Tes paupières s'écarquillent difficilement. Et tu attrapes ton appareil photo. Pour immortaliser la chose. Fascinée. Le sourire béat. Tu t'avances, pour effleurer la lumière. Doucement. Tu respires. Tu vois ton souffle se gelé un instant. Tes pupilles s'écarquillent. Oh, le tripp. Et...

Tu es là. Là, nulle part, plutôt. Ou dans un endroit complétement incongru. Tu rêves. C'est sur. Mais tu as un peu froid. Tu as même un peu faim. Tu n'as jamais faim, dans tes rêves. Alors tu te mords la lèvre. Et c'est bien vrai. Tu commences à paniquer. Car tu ne comprends plus rien. Qu'est ce qui se passe, ici ?

Tu as entendu des gens parler. Des humains. Et oui, il est important de le précisé. Parce qu'ici, pas tous ne te semble si humains que ça. et aux plus tu écoutes les gens et les choses. Non, pardons, les Pulséens. Mais tu n'as plus ouvert la bouche depuis. Tu ne te souviens même pas de là où tu as dormis et manger pendant ces trois jours. La seule chose que tu grade collé contre toi, c'est ton appareil photo. Et tu es terrorisée. Que quelqu'un vienne, par pitié.



Ash

you better get real, real, real




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••• Et sinon, comment votre fusée s’est-elle posée sur Pulsar ? : Je sais plus. J'crois que j'étais sur le forum forumactif. Et j'ai cliqué sur un lien, et votre forum était en forum coup de coeur, j'crois.
••• Des petites suggestions ou un truc à ajouter ? : J'espères avoir à peu près tout compris~ Et pardon, j'ai pas eu le temps de faire des icons. Et. Et. Le caractère j'ai pas voulu le faire trop long. Mais du coup j'ai peur de pas assez l'avoir développé. Alors si jamais, je réécrit mieux. (Enfin, "réécrit", j'ai plus ou moins déjà la version longue...)
••• on a pas de question rigolote alors voilà un smiley : J'ai de smiley non-textuel. Pardon .c.

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Sujet: Re: Jake - Tu pleurais des galaxies étant petite   Ven 27 Sep - 22:34
j'ai été charmée par ton personnage, parce que je crois qu'on vois rarement des êtres fictionnels aussi humains c'est à dire peureux et paradoxaux comme on les aime
vivement l'histoire et ...
bienvenue sur pulsar jake !

Jake Crowley
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Humain

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Sujet: Re: Jake - Tu pleurais des galaxies étant petite   Ven 27 Sep - 23:36
Merci merci !
C'était un peu ce que je cherchait à faire. Je me suis dit "Si j'étais dans cette situation, j'aurais fait quoi ?!" Et, j'aurais été flippée au possible.

Bref, voilà, j'ai posté l'histoire. J'espères avoir tout saisis. Si quelque chose ne convient pas, y a pas de soucis pour que je réajuste.
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Humain

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Sujet: Re: Jake - Tu pleurais des galaxies étant petite   Lun 30 Sep - 10:33
bonjour bébé chat
JAKE EST ADORABLE
J'aime vraiment comment tu ecris si bien que j'étais là "omg on dirait un roman plz ah oui merde on est sur pulsar ça veut dire que yolo la fin sera pas en mode terrienne quoi"

••• Jake Crowley •••



••• te voilà arrivée sur pulsar ! le roi donc te remet ton registre à étoiles en signe de bienvenue et te souhaite une étincelante existence parmi les astres.
Bonne chance, et surtout, brille.•••

Humain, ton Portail t'a déposé à LA GARE SPATIALE. Tu peux choisir d'y faire ton premier RP, ou simplement de garder ce fait comme une information !
Tu as de la chance, ton Portail a l'air de t'avoir déposé en en seul morceau. Tente de le rester !

n'oublie pas de recenser ton avatar !
https://pulsar.forumactif.com/
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Humain

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Sujet: Re: Jake - Tu pleurais des galaxies étant petite   Lun 30 Sep - 10:54
Merci merci merci !
Je vais donc faire tout ce qu'il faut. Encore merci d'avoir fait si vite .c.
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Sujet: Re: Jake - Tu pleurais des galaxies étant petite   

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