▬ Nom Newton
▬ Surnom(s) HeroIIc Storm, Karajan, Nëëptune
▬ Racine élémentaire
▬ Branche pollen
▬ Vieillesse âge avancé
▬ Planète d'origine terre des songes
▬ Pulséen, que penses-tu de ta chère galaxie ? dans la notion de pensée, vous considérez que je puisse concevoir avoir une once de respect ou de haine certaine pour cette "galaxie". Pour tout vous dire, je m'en fous.
▬ Et les autres habitants ? Comment les vois-tu ? Est-ce réellement l'harmonie entre vous ? il y aura toujours de l'eau dans la mer. qu'importe le temps que vous mettez à la regarder, elle ne vous parlera pas.
▬ Pas trop difficile la vie sur Pulsar, dis moi ? non
▬ Ton avis sur votre politique ? mes idées ne regardent en aucun cas personne d'autre que ma personne
▬ Et les humains, ces drôles de créatures, comment les reçois-tu ? Méfiant ou accueillant ? Un avis quelconque sur eux ? si les pulseens sont l'eau de la mer, les humains en sont les rochets. aussi inutile.
▬ Quel souhait fais-tu aux étoiles du ciel de ta Galaxie ? qu'ils arretent d'essayer de comprendre, cela devient d'un lassant à force.
▬Vas-tu briller, pulséen ? avez vous dejà vu du pollen briller, serieux
••• Like the man i know i'm not
Newton, c'est toi.
L'incompatible, l'incompréhensible, l’apathique.
Ils ne s'en inquiètent pas, tu n'en souffres pas. Tout va très bien ici. Qu'ils ne s 'arrêtent pas pour te parler, cela reviendrait au même : tu n’écoutes pas. Pas que tu n'as pas envie, tout simplement que t'en as rien à fouttre. Oh mais, oui tu vas bien, tu ne désires juste pas de « vous ».
« Vous » est une masse, une foule, un plein que tu considères comme inexistant dans les possibilités de tes relations. Tu es « je » parce que tu as refusé de te mêler au « nous ». Considérez le comme le mal, l'associable dépourvu d'amour pour les autres, qu'est-ce que cela peut bien lui faire ? Tu existes sans le « nous », tout te va. Tout a toujours été nickel sans le « nous ». « Nous » est beaucoup trop, toi tu te suffies à toi-même.
Tu as oujours été quelqu'un de délicat, raffiné sans n'avoir besoin de le démontrer à personne.
Tu es ton propre jury. Ton propre libre arbitre.
Si l'on remonte assez loin dans les pages de tes carnets ou les agendas retraçant tes exploits, on pourrait dire qu'on t'a formaté pour être « clean ». Impeccable, parfait, oh oui, sans doute qu'on t'envie des fois dans les rues, mais jamais on t'en fait part. Non, qui oserait te parler voyons ? Tout le monde sait ici que t'as beaucoup trop d'ego pour te rabaisser à entretenir les ragots et bons potins de pulsar.
Il fallait être nickel chez toi, vois tu. Pas que la notoriété de ta famille avait quelque chose d'extraordinaire, mais étant le seul mal dominant, fallait remonter l'estime du précédent échec de la lignée : ton père. Cela expliquerait aussi pourquoi tu t'es éloigné de toute forme de relation. Après tout, qui dit « impeccable » dit « impossible à atteindre »
Ainsi, remontant le cours de l'histoire, on a façonné ta façon de penser.
Pas d’émotion, Newton.
Tu resteras amorphe, Newton.
Personne ne pourra t'atteindre, Newton.
Les règles du jeu étaient lancé, les des avaient eu beau faire changer la donne, aucun sourire, jamais n'a atteint tes lèvres. Ton cerveau, avait cette entité, ce trop plein qui un jour n'exploserai pas.
C'était ce que tu t'étais dis.
(Platon, Mythe d’Aristophane, Le Banquet, 189d-192e, traduction de Bernard et Renée, Nathan, 1983, pp. 58-61)."Autrefois la nature humaine n’était pas ce qu’elle est maintenant ; elle était bien différente. D’abord il y avait trois genres, et non deux comme maintenant, un mâle et une femelle ; s’y ajoutait un troisième genre qui participait des deux autres - dont l’appellation a subsisté - mais qui a lui-même disparu : il y avait un genre androgyne, dont l’aspect et le nom participait à la fois des deux autres [...]. Par ailleurs la forme de chaque homme était entièrement ronde, avec un dos arrondi et des côtes circulaires, avec quatre mains, autant de jambes et deux visages sur un cou d’une rondeur parfaitement régulière, mais une seule tête sous les deux visages regardant en sens opposés ; avec quatre oreilles, et deux sexes [...]. Ils étaient doués d’une force et d’une vigueur prodigieuse et d’une grande présomption. Ils s’en prirent aux dieux [...]. Après s’être torturé l’esprit, Zeus déclara : « Je crois tenir le moyen pour qu’il y ait encore des hommes et pour mettre en même temps fin à leur impudence : c’est qu’ils deviennent plus faibles. Je vais donc les séparer en deux [...]. » Sur ces mots il coupa les hommes en deux [...]. Ainsi leur corps était divisé en deux ; chacun alors, regrettant sa moitié, la rejoignait ; et ils se jetaient dans les bras les uns des autres et s’entrelaçaient dans le désir de s’unir, de ne plus faire qu’un ; ils mouraient de faim et généralement d’inanition, parce qu’il ne pouvaient rien faire les uns sans les autres [...]. Pris de pitié Zeus inventa un nouvel expédient : il déplaça sur le devant les organes génitaux ; car jusque-là ils les portaient derrière [...] il leur permit de s’engendrer les uns dans les autres [...]. C’est donc depuis cette lointaine époque que l’amour des uns pour les autres est inné chez les hommes, qu’il ramène l’unité de notre nature primitive, et entreprend de faire un seul être de deux et de guérir la nature humaine. Ainsi chacun de nous est le complément d’un être humain, pour avoir été coupé, comme les carrelets, et d’un, être devenu deux. Chacun ne cesse alors de chercher son complément [...] chaque fois que le hasard lui fait rencontrer cette moitié de lui-même, alors l’amoureux [...] est saisi - ô prodige ! - d’un sentiment d’amitié, de familiarité, d’amour ; ils ne veulent pour ainsi dire plus se séparer, fût-ce un instant [...]. Par l’union et la fusion avec son bien-aimé, de deux [l’amoureux désire] ne devenir qu’un."
••• the phoenix
« Papa ne reviendra pas. »
Papa a toujours été un monstre, de ceux qui se cachaient sous les lits, hantaient les cauchemars à en faire pâlir les cheveux. Maman l'a dit, très froidement, devant son thé au jasmin. Elle est belle maman, même quand tout va mal. Elle a vaincu des océans, Maman, bravée les tempêtes et détruits les ouragans. Elle est froide devant son café et dans ses yeux, on peut y lire un peu d'espoir en posant ses mains sur les tiennes.
« Ce n'est pas grave, tu sais. Nous vivrons tous ensemble. Rien n'est mieux que ça, chaton. Rien n'est jamais mieux que la famille. »
Elle sourit, passe une main dans tes cheveux, essayant sans doute de les dompter. Tu te rappelles des doigts de maman sur tes cheveux, de cette familiarité que tu n'aurais pour rien au monde voulu perdre. Tu te vois dans ses grands yeux fardées, frêle enfant à la carrure incomplète.
Dehors, il pleut encore.
Il fait encore très noir dehors, mais toujours, toujours les yeux de Maman sont assortis à son sourire.
Mael, Evna, Maëlys, Enrica, et puis toi, toi au début. Toujours au début de la troupe familiale, comme un grand patriarche à la cinquième mesure de ton espèce. Il est devenu commun que tu t'occupes de tout. C'est devenu une habitude que tu portes presque fièrement sur tes épaules. L'avenir des deux dernières, les fugues perpétuelles de Maëlys et le mutisme d'Enrica, tu as appris à gérer. Maman regarde, Maman regarde toujours, dans son fauteuil de bois sur le porche de la maison. Elle regarde avec ses yeux sertis d’émeraudes. Elle sourit. « Tu n'es pas comme ton père, Newton. Tu n'es en rien comme ton père. » Qu'elle te murmure quand tu t'occupes des factures, vivres et devoir. Tu lèves la tête mais toujours, toujours restent suspendus tes mots. Quitte à ne pas répondre,
Quand Mael dort, tu peux enfin te mettre devant le feu et poser ta tête sur le canapé. Tu ne dois pas, ne dois jamais, montrer que tu es écrasé par ces responsabilités.
« Ton père est parti. Avec toute la caisse. » Les filles sont autour de la table, mais Maman vient de parler. Maman ne parle jamais du « père » aux filles. Non, elle ne t'en parle qu'à toi. Tu fronces les sourcils en regardant les filles qui ont levé la tête. Ta mère est toujours dans son thé au jasmin. Elle lève ses yeux, les émeraudes sont un peu moins scintillants. Elle te fixe. « Ton père est parti. Nous n'avons plus rien, Newton. La maison, l'entreprise, le miel, tout ça. Tout ça n'est plus à nous. »
Le silence religieux qu'il se fait te dépasse. Pour la première fois de ta vie, tu as envie qu'elle se taise. Tu demandes aux filles d'aller dans leur chambre, que ce n'est rien mais ta mère se lève et le monde tombe. « Les filles restent. Newton, c'est à toi que je parle, cela n’empêche en rien le fait qu'elles puissent écouter ce que nous sommes devenus. » « Maman, calme toi, les filles n'ont pas à être préoccupées par-- » « Tout a toujours été de ta faute. »
Avale.
Ça
Bien
Profondément.
Elle s'est éteinte hier, dans sa chaise, sur le porche de la maison. Tu jouais avec les filles dehors.
Mâle dominant, Seul revenu de la famille, il fallait subvenir pour les besoins des filles et l'enterrement de Maman. Tu t'es chargé de tout. Tu serai le nouveau parent de la famille.
Même si les responsabilités t’écrasent et que le masque sur ton visage est bien loin de la perfection.
••• decodée
▬ Âge vingt ans
▬ Sexe qu'avec primadonna
▬ Avatar Mituna Captor homestuck
▬ Et sinon, comment votre fusée s’est-elle posée sur Pulsar ? j'aurai pu ecrire cette question
▬ Des petites suggestions ou un truc à ajouter ? qu'on paye les admins -surtout haya- -héhé-
▬on a pas de question rigolote alors voilà un smiley I love you /le premier qui me dit que j'ai pecho le code de concubine, je lui tarte la gueule ok. :coeur sur quals: