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Arsène D. Bucket
Arsène D. Bucket
MESSAGES : 7
FICHE : lalala
PSEUDO : Ely
CRÉDITS : Eireen ♥
ÂGE : 29


Humain

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Sujet: Elle est par où la piscine ?    Ven 8 Aoû - 13:36

identité

imagine that the life you thought you shared wasn't really there



••• Nom : Arsène Douglas Bucket
••• Surnom(s) : Buck', Cap'taine, Doug'.
••• Âge : 38 années révolues.
••• Nationalité : Anglais.
••• Ancienneté sur Pulsar : J'ai arrêté de compter passé deux jours.

••• Alors humain, satisfait de ta nouvelle Galaxie ? Demander ça deux jours et des poussières après mon arrivée, c'est pas un peu...Précipité ? Et puis, parlez-moi mieux que ça. "Humain", non mais oh.
En dehors de ça, j'ai pas vraiment regardé, je ne suis pas du genre à rester le nez en l'air pour tout admirer. Non, là ce qui m'importe c'est de retrouver la carlingue de l'Arrow. Même la bestiole venue me parler, j'ai eu envie de shooter dedans.
••• Comment t'intègres-tu parmi les Pulséens ? Que penses-tu d'eux ? Tant que ça a pas des tentacules/ventouses/cequevousvoulez, ça me v--. Ah parce qu'y a ça, par là ? Ouais bon. Je crois que je vais pas les aimer.
••• Penses-tu pouvoir devenir l'un d'eux, à la longue ? S'il est question de tentacules, alors non. C'est hors de question. De toute manière, je suis fait pour écumer les galaxies, alors je ne compte pas stagner dans celle-ci.
••• Ton avis sur la politique ici ? Y a un roi ? Sérieusement ?
••• Pas trop dépaysé dans cet environnement fantasque ? Si. Un peu trop, même. La bestiole qui est venue me brieffer m'a beaucoup intrigué malgré mon envie de l'envoyer voltiger plus loin.
••• Vas-tu briller, humain ? Je ferais briller vos yeux. Ca va, ça ?


personnalité

It just existed in your head The reflection used wasn't you

Extrait d’une lettre au Capitaine Arsène D. Bucket :

[passage rendu illisible par l’usure] « …Malgré vos tendances à vouloir toutes les femmes, je suis persuadée que vous m’aimez ! Auquel cas vous ne seriez pas aussi tendre avec moi, n’est-ce pas ? » [passage rendu illisible par l’usure] « …romantique à souhait, j’aime ces fleurs que vous ne manquez jamais de m’offrir, accompagnées de mots doux qui me pousse à vous attendre et à… »
[passage rendu illisible par l’usure] « Mais vous parlez peu, vous savez…Et cela suffit à me blesser. J’aimerais en apprendre plus sur vous, vous êtes bien trop mystérieux…. »



« Vous comptez y répondre, un jour, capitaine ? »
Le nommé reposa la bière qu’il tenait entre les mains, observant le matelot venu s’installer près de lui d’un air totalement penaud.
« Non, je ne sais même plus si elle s’appelle Elizabeth ou Victoire. Ou peut-être même Aimée. »
« …Vous collectionnez les femmes. »
« Je m’amuse, nuance. »
« A trente-huit ans, il faudrait décider à s’engager. »
« Je suis engagé à mon équipage. Et entre nous, je passe ma vie entière sur l’Arrow, je ne pense pas que ce soit le meilleur style de vie pour me lancer dans une relation. Je suis certes loyal, dévoué, aimant, romantique et tout ce que vous voulez, mon navire est mon premier et seul amour. »
« …C’est très bizarre. »
« C’est sincère, bonhomme. Tu me connais assez bien pour savoir que la subtilité et moi, ça fait deux. J’en viens à me demander, parfois, comment les femmes font pour finir par me céder. Peut-être la barbe. C’est sexy, on va pas s’en cacher. J’dois avouer que j’en suis fier. T’aimerais la même, hein ? T’aimerais avoir autant de vigueur et de charme quand t’auras presque quarante ans, hein ? Je sais, je sais, ne dis rien, c’est normal. J’t’apprendrais, si tu veux. »

•••

« Le capitaine ? Il est vraiment très… Spécial. C’est un gai luron, on ne peut pas le nier, toujours prêt à rigoler, à s’amuser. C’est même parfois lui qui nous ordonne d’aller semer un peu le bordel dans les cuisines pour emmerder le chef cuistot. Non, sérieusement, on ne peut pas s’en plaindre. Notamment parce que bien que ce soit un grand gamin, il possède une étonnante autorité. Il est inutile de dire qu’il suffit qu’il hausse la voix pour nous pousser à nous calmer et à nous bouger. Son sérieux tire parfois sur une sorte de…Truc qui le rend assez effrayant. En dehors de ça, il est têtu comme une mule, borné, séducteur, beau parleur, et il ne manque jamais une occasion de s’amuser dans…Dans la cale, ouais. Mais bon. On ne lui en veut pas. Il a réussi à faire de nous un équipage remarquablement soudé, autant par ses convictions que par sa fermeté et sa grande ambition. »

...Vous l'aurez voulu.
Elle est par où la piscine ?  8203161222259099tumblrmh1lqqTq2M1r29rzio1500


histoire

And wherever you are, land on another star

Gamin, j’étais déjà un p’tit con. Ce même genre de sale gosse qui sèche les cours pour aller courir dans la boue avec ses copains et tirer les cheveux des filles qu’on aime bien. J’étais du style à jamais sortir sans mon béret, même si la mode était dépassée. Premièrement parce qu’il était super classe, deuxièmement parce que ça me faisait un chapeau de pirate de dingue, troisièmement parce qu’il était le seul souvenir qui me restait de mon géniteur parti trop vite un matin d’été. J’ai eu une enfance paisible. Une mère au foyer et un père un peu particulier. À vrai dire, il était bien plus question de choses qu’on me cachait, de disputes sur lesquelles on me mentait, mais je voyais rien, j’étais un gosse heureux à qui on donnait tout ce qu’il voulait.

Et un matin, étonnamment, ça a pas été le soleil dans ma gueule à cause de ma fenêtre juste en face mon lit qui m’a réveillé. Je l’avais entendue hurler. Ma chère et tendre mère, je l’avais entendue pleurer, frapper, j’avais peur, j’en tremblais. Enfin bref, c’était pas joyeux, et en sale gosse curieux que j’étais, je suis descendue voir les raisons d’un tel bordel. J’aurais pas dû, et à l’heure actuelle je regrette encore de l’avoir fait. Mais avec le recul on s’y habitue, comme à une vieille plaie qui refuse de se refermer. On vit avec. Arrivé en bas, j’avais trouvé ma mère allongée sur le sol, les cheveux en bataille, la robe de nuit déchirée, les bras marqués. Je me doutais que quelque chose clochait, alors je me suis approché, je l’ai secouée, elle pleurait, elle tremblait. Je m’y attendais pas qu’elle m’a pris dans ses bras, et je suis resté là, à l’écouter, sans bouger. « Ton père est parti, mon chéri. »

Et maintenant quoi ? On prend les mêmes et on recommence ?
Après cet évènement, ma vie a très peu changé. Essentiellement parce que ma génitrice refusait de m’infliger ce qu’elle vivait. Je le savais, qu’elle était déchirée, qu’elle souffrait. Mais j’avais cinq ans quand il est parti. Allez-y pour expliquer à un gosse que vous mourez d’envie de renoncer à la vie. Ca a été comme ça jusqu’à mes quinze ans, au moins. Mon début d’adolescence s’était déroulé à merveille. J’étais devenu un sale gosse qui draguait les filles en rêvant d’écumer le ciel à bord d’un vaisseau qui serait le mien, et uniquement le mien. Honnêtement, je n’ai aucune foutue idée de comment cette lubie est arrivée. Je sais juste qu’elle est venue comme ça, comme une envie de pisser. Pour tout vous dire, je pense que voir la Terre se dégrader avait aidé. Beaucoup aidé. Elle était déjà destinée à crever, et moi je n’avais aucune envie d’y passer, ni même de laisser ma mère y rester. Sauf que bon, un chagrin d’amour ça vous pèse, ça vous tue. Et elle a fini par passer l’arme à gauche sans même que je m’en rende compte. L’un dans l’autre, c’est assez typique, mais vous pouvez pas comprendre si vous l’avez pas vécu. Je ne lui en ai pas voulu, pas un seul instant. J’ai jamais été rancunier, et je savais qu’elle se forçait. Oui, son absence m’a dévasté, j’lui en voulais. Mais pas à elle. À lui. Et j’espérais fermement qu’il était en train de crever, dans un coin reculé de cette planète aux ressources appauvries.

Au mieux tu dormiras plus le soir, au pire t’auras juste envie de me cracher à la gueule.
Puis j’ai déchanté. Mes convictions ? Elles se sont barrées. J’ai commencé à boire, à m’amuser. Ca a pas duré longtemps, mais ça m’a marqué. J’en ai vu défiler, des poitrines et des paires de fesses. De la plus naturelle à la plus falsifiée. Mais je prenais mon pied, alors je la bouclais. Jusqu’à en avoir assez. Jusqu’à ce que ça me lasse d’avoir une nouvelle tête, un nouveau nom, un nouveau corps dans mon lit à chaque soir qui passait. J’avais un succès fou, je vais pas vous le cacher. Sauf qu’un rêve ne disparaît vraiment jamais, aussi tordu soit-il. Et plus je voyais la Terre dépérir, plus mon envie de me tirer me travaillait. Alors j’ai fouillé, j’ai cherché, jusqu’à trouver un vaisseau et des gens qui seraient prêt à m’accompagner. Ca a été long. Ca s’est étalé sur toute une année. Mais j’ai eu la chance de rencontrer des gens qui s’y connaissaient. J’ai changé aussi. Enormément. J’avais seize ans mais je savais me faire écouter, et si certains ont ri de me voir me démener, j’étais fier de ce que j’avais fait. Manquait plus qu’à trouver les pièces, et de quoi remettre l’Arrow sur pieds. L’Arrow, ouais. Je trouvais ça cool, comme nom. Ca envoie du lourd, pas vrai ?
J’ai passé quatre ans de ma vie à traverser la planète, aux côtés d’un de mes « hommes » pour y trouver les morceaux nécessaires au bon fonctionnement du vaisseau. Je voulais que tout soit bien fait. Mais c’était sans compter la trop grosse implication de la femme de l’homme qui écumait la Terre à mes côtés. Elle avait un peu déconné, on va pas se le cacher. Se lancer seule dans la récupération d’une pièce pour l’Arrow avait été l’erreur qui lui avait coûté la vie. Pour le coup, je m’en voulais. Et j’avais juré sur sa tombe de prendre soin de sa fille. J’avais peur, persuadé qu’elle finirait par me détester pour la simple et bonne raison que sa mère avait disparu en participant au caprice d’un sale gosse de vingt ans. Mais je l’assumais.

C’était la promesse d’un monde plus beau.
« Faites-moi décoller cette carcasse de vaisseau. »
J’avais à peu près vingt-sept ans lorsque l’Arrow quitta la Terre pour un avenir meilleur, piloté par un type que je ne pouvais voir ni en blanc, ni en noir, mais pour le coup je n’avais pas le choix. J’avais du trouver un pilote assez rapidement, et malgré mes appréhensions, j’avais décidé de garder celui-là. Le décollage se passa sans encombres, et j’avais presque senti mon cœur se décrocher de ma poitrine alors que nous traversions l’atmosphère, abandonnant ainsi ceux venus nous encourager au sol. Je m’en voulais. Un peu. Mais cette culpabilité fût vite effacée par le spectacle hallucinant qui se déroulait sous mes yeux. Je ne connaissais les étoiles que des livres, à l’instar des planètes. Alors voir cet océan spatial s’étendre devant moi fût certainement la chose la plus merveilleuse qu’il m’ait été donné de vivre. Nous avions quitté la Terre pour tout recommencer ailleurs.

Si tu tiens à crever, je peux t’y aider.
Je n’avais aucune conscience d’où nous allions, ni même de notre but. Je savais uniquement que je voulais trouver une nouvelle terre pour nous accueillir et y bâtir un monde meilleur que le premier. Mais il n’y avait rien. Rien de plus qu’un océan d’étoiles et de nébuleuses sans fin. J’étais anxieux, et plus le temps passait, plus ma confiance en ce pilote s’effritait. Et j’avais raison. Il avait fini par retourner sa veste, nous avait privé d’un mécanicien, et alors que je me ruais hors de ma cabine, c’était à la petite Eireen qu’il s’en prenait. Mon sang n’avait fait qu’un tour et c’était dans un instinct totalement stupide que je m’étais précipité vers elle pour la prendre dans mes bras et l’en éloigner. J’aurais pu y passer, j’aurais pu crever. Mais j’aimais mieux que ce soit moi qu’elle. Au mieux j’en aurais perdu ma dignité, au pire j’aurais tout abandonné. Sauf qu’au final le coup n’était jamais parti, et alors que je rouvrais les yeux en sentant un liquide chaud heurter ma peau, j’avais vu notre ancien pilote s’effondrer, la tête éclatée, resserrant inconsciemment mon étreinte sur la gamine que je tenais fermement contre moi avant de lever le visage vers son père tenant un flingue tout juste utilisé entre les mains. « La prochaine fois, essaie d’arriver un peu plus en avance. »

Et puis commença la dérive.
Ce fût finalemen Eireen qui reprît la tête du pilotage de l’Arrow. Elle était jeune, et entre nous, la nature l’avait vachement gâtée, mais avait réussi à peut-être nous offrir une chance de vivre. Nous avions reçu un signal, un appel, d’une planète qui, autrefois, était jugée comme inhabitable. Mars. Sans hésiter, elle avait fait demi-tour, suivant le radar à la recherche de la Voie Lactée, et j’avais moi-même senti une once d’espoir me pousser à l’obliger à avancer.  
Sauf que sans mécanicien, le vaisseau partait en lambeaux, commençait à battre de l’aile. Nous étions condamnés, et même mes convictions s’étaient effritées. J’avais tout juste trente-huit ans, et il est inutile de préciser que je jugeais ma vie comme ayant été bien trop courte pour qu’elle puisse ainsi se terminer. Mais à quoi bon ? L’Arrow ne faisait qu’errer, abîmé par les dégâts des astéroïdes, d’un trou noir que nous avions de justesse évité, et de multiples vaisseaux ennemis auxquels nous avions refusé de nous rallier.
Alors, lorsque ce portail s’était ouvert sous nos yeux, j’avais bondi de mon siège pour monter sur le pont, aux côtés d’Eireen pour la guider. Nous n’avions plus rien à perdre, alors autant avancer.

Je crois… Que je deviens totalement cinglé.
À vrai dire, si. Nous avions quelque chose à perdre. Notre raison. Tout du moins, j’avais perdu la mienne. Et c’était lorsque j’avais vu cette bestiole venir nous indiquer que nous avions atterri dans une nouvelle galaxie que cette idée s’est un peu plus renforcée. Merveilleux. Ces années d’errance dans l’espace avaient fini par avoir raison de moi, et surtout de mon esprit qui, entre nous, commençait déjà à merder avec ma libido qui manquait pas de me rappeler qu’elle existait. Maiiiiis bref. En toute innocence, j’avais décidé de passer le plus clair de mon temps dans la cabine, aux côtés de notre chère pilote. Allez pas vous faire d’idées, j’étais persuadé d’être devenu totalement maboul alors je voulais éviter qu’elle aussi finisse par dérailler. Sauf qu’au final, ce fût l’Arrow qui rendît son dernier souffle, et par l’esprit d’Eireen. Bon, c’est méchant mais je dois admettre que j’aurais mieux aimé qu’elle devienne folle plutôt que de voir mon vaisseau se disloquer. C’est légitime, non ? Enfin, passons. Je ne sais plus trop comment j’ai réagi lorsque j’ai senti le « navire » trembler. A peu de choses près ça ressemblait à un hurlement d’animal suivi d’une tentative vaine d’aider Eireen à entamer un atterrissage forcé.

Je confirme, je suis cinglé.
Bras ? Check. Jambes ? Check. Tête ? Check. Appareil de reproduction ? Check. Je suis entier, c’est parfait. Mais je n’ai aucune foutue d’idée de l’endroit actuel où je me trouve et au vue de la bizarrerie des lieux, ça me semble être autant une planète qu’on monde imaginé par un gosse à l’esprit un peu…Psychédélique. Si du moins on met de côté le petit plus chaotique qu’apporte l’épave du vaisseau qui vient de lamentablement s’écraser. Passant une main sur mon visage, je me redresse non sans une grimace en raison de mes jambes douloureuses et époussète mes vêtements, à la recherche du moindre membre de mon équipage que j’espère encore vivant.

Je suis terriblement désolé.
Première chose, résister à l’envie de la colorier. Deuxième chose, ne pas rigoler. Oui parce que le fait de rigoler en voyant Eireen en noir et blanc de loin me semble moins grave que de la considérer comme une feuille vierge que je pourrais colorer. Vierge hein. Genre blanche. Mais ce n’est pas le moment de divaguer, parce qu’à peine après l’avoir aperçue, je sens mon cœur se déchirer. Je ne veux pas le voir, je veux le nier. Je refuse d’être responsable de son statut de désormais orpheline. Et si vous saviez comme mon désir de l’emmener loin, de tout lui faire oublier, me démange. Mais je ne peux pas l’assumer. Je ne peux pas accepter qu’elle ait perdu ses deux parents dans des drames dus aux caprices c’un pauvre petit anglais. C’est immature et déloyal. Mais au fond, j’aime mieux l’éviter.


Penis_Chan ou Ely ou Arachne

you better get real, real, real



••• âge : 20 ans.
••• Sexe : Dans la cale avec Eireen et Reira. Vagin.
••• Avatar : Kotetsu de Tiger&Bunny.
••• Et sinon, comment votre fusée s’est-elle posée sur Pulsar ? : Eireen m'a dit qu'elles avaient besoin d'un cap'taine. J'suis là pour les fouetter.
••• Des petites suggestions ou un truc à ajouter ? : Non, j'vous aime.
••• on a pas de question rigolote alors voilà un smiley I love you : C'est trop gentil. ♥️

Capitaine
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FICHE : ALL HAIL CAPTAIN.
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Sujet: Re: Elle est par où la piscine ?    Ven 8 Aoû - 14:29
bienvenue sur pulsar arsène !


étant moi-même capitaine, je comprend et partage ton amour pour ton bateau et ton équipage Cool
va écrire ton histoire tout est parfait pirat I love you
Arsène D. Bucket
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Sujet: Re: Elle est par où la piscine ?    Ven 8 Aoû - 15:52
MERCI ♥
Et ma fiche est terminée !
Capitaine
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Sujet: Re: Elle est par où la piscine ?    Ven 8 Aoû - 16:47
je te souhaite bien du courage pour reconstruire ton bateau, brave capitaine pirat
(et pour te faire pardonner à eireen) (t'as buté ses parents quoi /se tue) (jk mais je suis un peu triste pour vous deux du coup ;;;;)

si vous avez besoin d'un moyen de transport temporaire, le merry prankster vous accueillera à bras ouverts. pirat (je suis super fière de cette rime omg)

arsène


te voilà arrivé sur pulsar ! le roi donc te remet ton registre à étoiles en signe de bienvenue et te souhaite une étincelante existence parmi les astres.
Bonne chance, et surtout, brille.

Humain, ton Portail t'a déposé sur LA TERRE DES SONGES. Tu peux choisir d'y faire ton premier RP, ou simplement de garder ce fait comme une information !
Pas de chance, ton Portail t'a joué un mauvais tour. TU AS DES CORNES DE BOUC pour tes deux premiers posts rp !

n'oublie pas de recenser ton avatar !
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Sujet: Re: Elle est par où la piscine ?    

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