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Callum
Callum

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Sujet: Build myself a wall up on happy highs - Callum   Mar 15 Juil - 20:21

Callum

so it seems I’m someone I’ve never met




••• Nom : Callum
••• Surnom(s) : Cal
••• Racine : Bestial/Elémentaire
••• Branche : Esprit sylvestre
••• Vieillesse : Adulte en devenir
••• Planète d'origine : Bifröst puis Desitis

••• Pulséen, que penses-tu de ta chère galaxie ? Si vaste et tant à découvrir dans les années à venir
••• Et les autres habitants ? Comment les vois-tu ? Est-ce réellement l'harmonie entre vous ? Cal, pacifique, possède cette méfiance souveneraine propre aux animaux de son espèce au premier abord mis à mal avec un avenant naturel pour les plus faibles ou souffrants. Les espèces imposantes, plus grosses que lui et beaucoup plus charismatiques sont une source d'effroi potentiel.
••• Pas trop difficile la vie sur Pulsar, dis moi ? Avec quelques pulls, le stock d'herbes nécessaire et un ciel étoilé dégagé, aucun souci à se faire!
••• Ton avis sur votre politique ? Pas vraiment d'avis très arrêté, la politique ne l'a et ne le concernera jamais vraiment; néanmoins, les récents évènements et la nouvelle situation de crise sont extrêmement inquiétants, surtout s'ils entraînent des dégâts collatéraux
••• Et les humains, ces drôles de créatures, comment les reçois-tu ? Méfiant ou accueillant ? Un avis quelconque sur eux ? Rencontrer une espèce aux caractéristiques physiques proche, voilà une découverte qui promet d'être intéressante au possible!
••• Quel souhait fais-tu aux étoiles du ciel de ta Galaxie ? De toujours le guider vers son prochain sans faillir.
••• Vas-tu briller, pulséen ? Aussi brillamment que Rigel


Introspection

Everything I promised everyone I'd be


Le fort mange le faible. Le grand surpasse le petit. Le puissant, c’est le reste du monde, c’est en dehors du souterrain, c’est ce qui veut le manger tous les jours ou le garder pour le goûter du lendemain. Callum a peur, tout le temps peur de ces grands méchants plus hauts que lui plus haut que les montagnes aec plein de dents, trop de dents qui voudraient lui croquer toutes les pattes. Il s’est terré tout petit avec sa fratrie, a appris à craindre puis fuir les gros les carnivores. Mais au fond tout au fond sous l’épaisse toison douce comme la plus douce des fourrures, sous l’enveloppe de peur un petit Callum se dresse du haut de ses sabots en protestant. Il ne faut pas craindre le dehors les autres, il faut les battre, les rouer de coup, leur montrer qu’on existe et qu’on veut vivre. Alors le vrai Callum hésite, se rétracte au moindre cri effrayant qui emplit en écho la caverne et puis se dresse, rempart fier pour protéger ses petits frères, l’oreille vigilante, le pied léger.  Plus jamais un casse-croûte, fini de jouer les proies.

Callum c’est un petit paquet de nerfs maigre, un élan de bon vouloir pour tous et pour tout le monde et une soif d’aventures et de trésors dans des mondes grand comme l’univers. Une envie débordante d’aider son prochain ses amis les autres faibles à surmonter le danger la vie les prédateurs pour repousser l’envahisseur. Alors c’est un grand frère exemplaire et un fils responsable, un débrouillard de la première heure quand on a 5 plus petits après soi et plus qu’une seule mère pour tous les soigner et les veiller les pauvres. Des fois il a peur alors il crie, il rue, ou il tremble et il se replie pour faire comme un gros ballot tout plein de fluff le temps que l’orage passe. Mais il se rappelle qu’il doit être un grand garçon, pas aussi grand que le paternel –il leur manque tous des cornes pour s’imposer- mais au moins aussi rusé que le Grand Cerf et intelligent comme Chiron.

Callum c’est pas une peluche, ni un jouet même s’il en l’air ; c’est pas sa faute s’il est roux et très très doux, avec une houpette en guise de queue et le look d’un esprit de Fantasia. Et que tout le monde a envie de lui caresser les oreilles ou de se faire un manteau avec sa pelisse ; là il s’énerve, il râle, il gromelle en tapant des sabots. Sur la personne si elle n’est pas grande. Par terre pour pas le froisser si elle est grande. Mais il a les dents pointues, aussi, même s’il ne mange jamais de viande (on ne mange pas les autres camarades proies)

Callum c’est l’image à côté de la définition émerveillement, l’esprit de la Curiosité avec six sabots et deux mains pour dénicher, découvrir, examiner, poser 37 questions et avoir les yeux qui brillent devant la plus banale des trouvailles. Alors il stocke il garde échange troque et fait tourner 2% du traffic de la Poste interstellaire à lui tout seul pour envoyer des trésors à sa famille. Tout ce qui brille qui fait du bruit qui est mignon et adorable joli petit disparaît dans ses poches en échange d’autres trucs sans valeur comme l’argent ou l’or. Contre des pulls. Ou un bonnet à la taille de ses oreilles. LUXE ULTIME.

Callum c’aurait pu être l’insouciance quand on le voit, aussi grand qu’un adolescent humain, poil de carotte plutôt habitué à la figuration dans les documentaires animaliers rayon viande fraîche galopante, mais c’est un puit de sciences quand on commence à parler Nature. Herbes, remèdes, soins, astronomie, logistique, il en faut des domaines pour faire vivre une famille, étancher sa soif de connaissance et se repérer sans boussole. Et soigner les gens. Les aider. Toujours.

Callum c’est pas une peluche.

Assis sur la montagne d'oreiller, Callum était en plein débat intense et vital.

Pi, au dessus, émit un son tenant de la protestation ténue, un bruit ressemblant vaguement à un éternuement de poussin.

Ja renchérit de concert, toujours aussi facilement influencé par le premier des esprits-lapins, le plus grand.

Récupérés par un heureux hasard sur sa propre planète d'origine au premier de ses voyages longtemps après la première migration, les trois fantômes l'accompagnaient souvent, formes rassurantes et légèrement lumineuses la nuit, parfaites pour le campement sauvage dans le noir ou pour rassurer les patients un peu trop flippés.

Cal consulta le dernier et le plus petit, Mashkuzencka, habituellement plus raisonnable et courageux que ses frères. Collèges. Connaissances?

Il émit un son aigu, cristallin. La commande était claire..

Le cervidé soupira et mit son pull favori, râlant, une énorme écharpe brodée d'esprits et une paire de gants. Avant de s'en aller braver le froid des rues de Cassiopéïa pour acheter des pains-couleurs pour eux quatre.

Une fois par mois, les esprits décidaient du repas du soir.


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a history of fluffy

I only need two more miracles to be a saint


Le cri guttural résonna longtemps dans les différents boyaux de la grotte. Un hurlement hargneux, un appel à la chasse, une plainte affamée. La patriarche des hybrides, Aron, attentif aux moindres variations de sons rebondissant sur les parois de la caverne, veillait à l’orée de la plus grande qui abritait trois autres représentants de son espèce raréfiée. Tous était essouflés de la dernière course échappatoire. La bête ne les trouverait pas cette nuit. Elle ne les trouverait jamais, il l’avait juré sur ses cornes, il n’abandonnerait jamais aux carnivores sa propre famille. Plus tard dans la journée, seul le blizzard grondait au dehors, les prédateurs ayant finit par lâcher le morceau, ayant sûrement trouvé de plus grosses proies. La tension était enfin redescendue entre les quatre derniers cervidés, rassurés par la protection que leur offrait le climat polaire et leur habilité à la course malgré l’état gestatif des deux femelles  plus agées.

Comme un signe du destin, la première mit bas au plus noir de la nuit, quand toutes les bêtes même dangereuses dorment et que les proies sont en sécurité. Une lourde portée de trois petits vaillants, deux mâles et une femelle plus faible dont le cœur se décida de partir un peu en retard, sans emporter la vie de sa mère au grand soulagement de la micro tribu et surtout de la chamane. De l’aîné très coloré, Callum, en passant par Alejan en demi teinte jusqu’à la petite dernière, Sephy, pâle comme le givre, la relève serait assurée, et completée quand d’autre faons viendraient élargir la nouvelle génération. Aron pouvait être fier et rassuré, en serrant ses petits, leur promettant tout bas de les protéger du froid, des Autres, des grands.

Du monde.

« Chez les cervidés, l’ordre est le même que celui d’un troupeau de cerfs terriens ; un mâle alpha et plusieurs femelles dont la progéniture se retrouve avec plusieurs mères. Les faons apprennent bien vite à marcher, puis galoper, collés aux pattes de leur mères d’adoption, voire parfois portés à dos pour les plus jeunes en cas de danger, pour chacun des déplacements qui régissent leur vie nomade. Branche peu fournie en individus, il ne sont plus que deux troupeaux se réfugiant sous la croûte gelée de Bifröst, arpentant souterrains pour se protéger, galopant dans la toundra pour chasser leur propre pitance et résidant dans les cavernes à l'abri du froid. Mutations sur mutations au fil des âges les ont rendus plus petits, plus fournis en fourrure mais aussi dénués de leurs cornes quand leurs oreilles ont pris le dessus au sens propre. Aron est le dernier, avec la chamane à en posséder, peu développées.

Aron craignait pour ses deux aînés, aux robes clairement voyantes sur la couche éternelle de neige. La veille, les ayant emmenés  vadrouiller pour nourrir la troupe, un Dentelé les avait pris en chasse moins de deux heures après leur sortie du boyau avant qu’ils ne réussissent à lui échapper au bord des chemins escarpés en grimpant prestement. L’héritage ancien de l’équilibre de leurs confrères cervidés de montagne était l’un des seuls atout conservé après plusieurs génération. Soucieux jour après jour de la pérenité de ses descendants tout comme de son espèce, le père envisageait depuis quelques cycles des solutions plus grandes que tout ce qu’il connaissait pour assurer un avenir à ses proches. Plus grand que lui, que son territoire, que sa planète.

Sa deuxième compagne, Polli, la mère de Callum et des autres, affaiblie d’abord  par son enfantement multiple puis rattrapée par  sa condition d’ordinaire fragile luttait contre la maladie et surtout le froid. S’il faisait plus chaud dans les entrailles de la planète, le gel s’introduisait sournoisement et malgré les soins de la Chamane et la chaleur prodiguée par sa fille de même ascendance qui restait auprès d’elle jour après jour, les espoirs de la retrouver fringuante et en pleine santé pour affronter le dehors étaient plutôt réduits. Devenus casanier par la force des choses, le temps et l’avenir étaient moroses pour les derniers survivants. Le premier, d’un roux enflammé, aventureux, son cadet Ale d’un gris bleuté, beaucoup plus posé, secondaient déjà leur père dès leur sevrage ; ils comprenaient parfaitement la situation et comme lui, espéraient à un destin plus lumineux, surtout pour leur matrice.

Leur temps de gestation est plutôt long, durant à peu près une année humaine complète, et ils produisent un seul petit, ou une double portée, plus rarement trois individus ; cet enfantement est généralement le seul de leur vie.  Les faons sont sevrés au bout de cinq ans, peuvent chasser à partir d’une dizaine d’années avant d’être adultes et indépendants  vers l’âge de seize, dix-sept années. Ils possèdent trois paires de pattes et sabots, la dernière plus courte à l’avant permettant de faciliter l’escalade et l’équilibre en cas de chute, ainsi que des mains préhensibles. Les grand individus peuvent atteindre 1,50 au garrot, la moyenne se situant plutôt vers 1,20m; ils peuvent supporter la même charge que des chevaux, et exercer une force et pression aux sabots identiques.

Sephy pleura beaucoup. Assez pour compenser ses deux frangins qui restèrent stoïque sans vraiment y parvenir devant le petit tumulus dénué de fleurs, inexistantes sur la planète et dans leurs vies. Les prédateurs ne viendraient jamais la chercher ici. La Chamane avait bravement rendu les derniers hommages, versant une larme là où reposerait sa petite soeur dans sa nouvelle vie d'éternité auprès des constellations. L'ombre de la mort se lova comme un linceul glacial sur la petite troupe, tissant sa toile givrée de peur et de tristesse. Ils avaient chacun laissé une petite partie de leur vie à ses côtés, maigres trésors, avant de partir loin des steppes glacées à tout jamais en prenant le chemin de l'espace. Pour laisser derrière eux un avenir glacial et sans lendemain joyeux.

Une enfance de crainte, de déni, de fuite. A subir la faim lors des chasses maigres, le froid en permanence, le risque de mourrir dévoré à chaque cavalcade après un petit gibier le long des glaciers. Les frères avaient pu observer maintes fois la chaîne alimentaire en action, tandis que leur race cousine échappait sans mal à toute forme de menace; les faunes étaient plus résistants, plus préparés. Mieux adaptés. Ils les avaient aidés plusieurs fois, mais leur différences de culture empêchaient une cohabitation durable.

Les hybrides sont d’ordinaire rompus à un régime entièrement végétarien, correctement équilibré et secondé par une connaissance extrêmement poussée des différentes espèces végétales. La forêt est leur Mère originelle, ils la vénèrent autant que les étoiles et que chaque créature des bois. La nécessité peut pousser la tribu à adopter un régime omnivore par la chasse, prières et hommages pour les victimes de ces obligations leur étant alors rendus. Une culture orale est dispensée au fil des générations, impliquant légendes et savoirs précis sur les étoiles, guides et dieux des temps anciens, sur la médecine, les bases de la chirurgie, et l’ont a recensé quelques attraits pour les sciences appliquées et la physique appliquée. Sans oublier le commerce. La ou le Chaman(e) est le vecteur de la conscience collective.

Le voyage marquerait à jamais les plus jeunes. Bruits, odeurs, couleurs, diversité, plus de neige et beaucoup de gens. Beaucoup de nouvelles choses. Moins de danger. De la technologie. Profitant d'un navire de commerce subspatial peu regardant sur l'espèce plus que sur le coût du transport, de nombreux migrants civilisés ou non fuirent la planète dans le même bâtiment, résultant en une cohorte bigarrée et totalement variée, incluant beaucoup de carnivores. Gagnant de l'assurance au fil des jours, le trio explora l'ensemble du vaisseau; une rencontre providente entre des souffrants et leur Matriarche leur fit gagner des galons de respect et de nouvelles amitiés grâce aux soins apportés. Une mère lapine reconnaissante leur fournit pulls, boléros et écharpes en remerciement, devenant source impronptue d'un amour dévorant pour les vêtements chauds chez l'espèce menacée. Embarqués à six, serrés les uns aux autres, les jeunots terrorisés enfouis contre leurs aînés puis encouragés à vagabonder, le pèlerinage devait les mener finalement sur Desitis, réponse bénie à leurs attentes vitales et pacifiques.

La planète élémentaire répondit à tous leurs souhaits. Plus aucun besoin d'être carnivore, plus aucun besoin de fuir en vivant en bête traquée. Plus de froid. Plus jamais de blizzard, neige, gel, le paradis pour commencer une nouvelle vie. Leurs talents héréditaires firent des merveilles. Le troupeau s'agrandit finalement de deux autres individus, venant grossir une famille soudée à la vocation commune: aider leurs prochains. Mettre à profit une connaissance pointue et toujours évolutive, apprendre de tous et de partout, pour mieux assister les plus démunis. Les plus petits. Cal et Ale firent leurs armes aux Marais du Retour plusieurs années, le premier rêvant de poursuivre le rêve nomade de la famille pour soigner au delà de l'espace, le second prêt à prendre la relève de la Chamane, tous deux épaulés par Sephy, gardienne attentive de la pérenité du troupeau et des petits nouveaux. Des triplés soudés au delà du pire. Pour que jamais personne ne vive leur tragédie.

Les sylvestres sont pacifiques. Descendants d'esprits de la forêt protecteurs, issus de croisements de faunes et d'animaux sauvages, ils résident en Desitis, nouvelle planète-hôte, qui répond parfaitement à leurs besoins et à leurs attentes. Réputés pour leur humilité et surtout leur altruisme dicté par des temps immémoriaux, ils sont justes et non-violents, et ne ne prennent parti qu’en cas de conflit pour la protection des blessés. Ils … »

Sephy s’arrêta, interrompue par un appel venant de l’étage inférieur. Déjà le repas? Son traité retraçant leur histoire et celle de leur espèce avait gagné un répit supplémentaire.


Callum rencontra les esprits-lapins peu après leur arrivée sur la planète, après un hommage rendu aux dernières de leurs victimes de la chasse. Les ayant sauvés avec sa soeur de Bois-fantômes au cours d'une balade nocturne, sans pour autant trouver leurs corps, les trois lapereaux ne les quittèrent plus, alternant résidence à domicile avec Sephy ou voyage avec le rouquin. Les yeux rouges brillants, le corps loupiote et les chuchotements dignes de fantômes tristes incompréhensibles pour le commun des mortels ne les rebutèrent pas le moins du monde. Ils étaients tellement affectueux. Et excellents compagnons de voyage et de souvenir pour l'aîné qui partit pour Cassiopéïa.


ji

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Sujet: Re: Build myself a wall up on happy highs - Callum   Jeu 17 Juil - 21:08
bienvenue sur pulsar callum !


callum est vraiment vraiment adorable ET LES ESPRITS LAPINS ont l'air so cute aussi ahhhhhh tout est parfait tu peux continuer j'ai hâte de lire ton histoire I love you I love you
et puis il n'y a rien de mal à être une peluche ;;
Callum
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Sujet: Re: Build myself a wall up on happy highs - Callum   Sam 19 Juil - 0:07
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Sujet: Re: Build myself a wall up on happy highs - Callum   Sam 19 Juil - 9:46
pfffffffffffffffffffffffffffffff
Pfffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff

tant de cuteness pffffffffffffffff pfffffffffffffffffffffffffffffffff
#done with life


callum


tu es née sur pulsar ! maintenant que tu t'es présentée à lui, le roi te remet ton registre à étoiles et te souhaite une étincelante existence parmi les astres.
Bonne chance, et surtout, brille.

n'oublie pas de recenser ton avatar et de lister ta branche !
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