Et là, magie. Magie, c’est le seul mot qui venait aux lèvres des seuls qui pouvaient encore parler. Des étoiles ; des étoiles partout. Des petits monticules de terres au loin, flottant dans les airs, des créatures étranges à dos de licornes qui se pavanaient tranquillement de planète en planète, comme si tout était normal. Ouais, il paraît que ce décor digne d'un bon trip à l'acide s'appelle Pulsar.
« Et ce Royaume, que dis-je, cette Galaxie toute entière, est votre nouveau chez vous – que je peux être généreux, cela me perdra. »
« Je ne vous demande qu'une seule chose, mes chers petits bipèdes imberbes. »
« Brillez. »
nouveautés ;
18.06.14 • Reprise du forum ♥
staff ;
PHOEBUS • FONDATRICE (RETRAITE. UN ENORME MERCI POUR SON MAGNIFIQUE UNIVERS ♥) midas • ADMINISTRATEUR • mp VOUS ? • ADMINISTRATEUR • mp
Sujet: >> Be that one guy [reste l'histoire] Mer 6 Aoû - 5:36
identité
imagine that the life you thought you shared wasn't really there
••• Nom :Béryllium ••• Surnom(s) :Béryl / Berry / Betty / Bee / ••• Racine : Besti-Elem (deso je m'étais gouré xD) ••• Branche : Chat de Schrödinger ••• Vieillesse : à l'aube de l'âge adulte ••• Planète d'origine : Bifrost (il a grandit sur Cassiopeïa)
••• Pulséen, que penses-tu de ta chère galaxie ?C'est un bon terrain de jeu ••• Et les autres habitants ? Comment les vois-tu ? Est-ce réellement l'harmonie entre vous ? les aquatiques sont un peu relous mais sinon dans l'ensemble ça va...je suppose. ••• Pas trop difficile la vie sur Pulsar, dis moi ?... ••• Ton avis sur votre politique ? l'anarchie est créatrice, les révolutionnaire devraient rentrer chez eux finir leur crise d'adolescence au lieu de faire chier tout le monde avec ça. Enfin je dis ça, j'dis rien hein. ••• Et les humains, ces drôles de créatures, comment les reçois-tu ? Méfiant ou accueillant ? Un avis quelconque sur eux ?Je leur ressemble tellement, et pourtant je suis si différent. Je les trouve intéressant dans leur fragilité, et le fossé qu'il y a entre celle-ci et leur volonté. ••• Quel souhait fais-tu aux étoiles du ciel de ta Galaxie ?tu as le don pour poser des questions indiscrètes dis-moi ? ••• Vas-tu briller, pulséen ? et bien plus, et bien moins encore
personnalité
It just existed in your head The reflection used wasn't you
M.O.T.H.E.R
i put a gun against your head / (Wrong & Right, it's another chance mama, this is all for you mama)
F.A.T.H.E.R
i put a gun against your head / (so you wouldn't put one against their)
S.I.S.T.E.R
i put a gun against your head / (be strong, don't forgive, 'cause it's okay to die, little girl, it's all right)
I WILL Walk the path. THAT NO OTHER ONE Want to walk.
Because they are alone, so alone in their mind...
AND I JE AM SUIS LEGION LEGION
Je suis légion.
Nuit & Jour
Mortel & Immortel
Bien & Mal Mort & Vie Haine & Amour
Ce typique melting pot
Je suis TOUT & rien à la fois.
AU même moment, EN même temps. Qu'importe l'endroit, le lieu, je suis.
(un parasite voilà ce que je suis) (un chat loupé voilà ce que je vis) (une immondice qui ne pourras jamais se racheter) (oh pardonnez-moi, j'ai décidé de marcher ce chemin, celui interdit de)
Espoir & Désespoir
Le contraire et son prochain
Noir & Blanc
ne sont en moi qu'un
J'ai planté le drapeau de la conquête, au plus profond de mon cœur qui pulse pour le vide. Il s'agit de La dernière mission J'ai pris et changé, la vie et la mort. J'équilibre la balance.
M.O.T.H.E.R
Je ne pense qu'à ta rédemption Entre mes doigts est ta vie En moi ton dernier regard Et le premier le sera aussi.
histoire
And wherever you are, land on another star
Sélénium Fut mon nom. Sur les steppes glacées, j’ai grandis. Comme une enfant pauvre, telle une enfant abandonnée,. Et je ne savais rien de l’amour, Rien de la mort, Encore moins de la vie. J’avais ces grands yeux, la frimousse frémissante, J’avais un corps semblant fétiche, Mais robuste. J’avais….une certaine joie à parcourir ma terre, rouler dans la neige, me battre avec d’autre, pour ensuite en rire.
La solitude tue.
La compagnie aussi.
Ma vie… ?
Vécu au milieu d’éléments tous plus toxiques les hein que les autres…
Je les hais tellement et…en même temps…
Je n’avais qu’eux…. Peut-être souhaitais-je qu’ils n’aient que moi ?
… Sur Bifröst, je ne me souviens pas de la chaleur…peut-être y était-elle par moment… ?
J’oublie de plus en plus, ici. Ici où ?
Et puis… Et….puis……..
Dans ses filets je me suis prélasser, oh il avait tout d’un prince pour moi. Il était cruel Il ne m’aimait pas vraiment.
Mais je croyais à toutes ces histoires De la belle qui dompte la bête.
Et de mes mains, de ma sottise, de mon égoïsme, de ma peur aussi
-ne me laissez pas toute seule- -j’ai froid…-
J’ai vendu ce que j’étais. Absolument tout. Il ne restait plus rien de moi. Ni corps, Ni âme, Ni dignité, Ni pitié.
Une belle coquille vide, qui devenait de plus en plus laide. Et il n’était toujours pas satisfait Jamais assez. Si faible, si faible, tout ce que je portais en moi.
Ou ennuyeux.
Des déchets, comme moi.
Mais il voulait des œuvres d’arts, des bijoux qu’ils pourraient travailler.
J’avais vendu mon corps, épousé un homme au cœur de fer, et pourtant bouillant de vie, comme moi.
-était-ce parce que j’étais la bête seule et malheureuse ? Et lui la belle profiteuse et curieuse ?-
J’étais un chat, voilà, c’est tout, un chat robuste. Lui était brillant Et je n’étais rien.
Il était grand monsieur. De Schrödinger je vous prie. Et je n’étais…que l’expérience ratée, camouflée dans une pièce.
Le pêché mignon, du grand savant.
Je ne me rappel plus….de mes enfants…de ceux en vie…de ceux mort…. Il y en a eu tellement.
Oh mais il était si impatient.
Jamais le bon résultat, toujours décevant.
Et puis…
Deux petits. J’étais seule, -voyage d’affaire-. Non je n’étais plus seule, J’avais deux vie avec moi –deux vie de plus ou de moins-. Peut-être pouvais-je… ? J’étais pleine, Tellement ronde Comme la pleine lune de mon enfance.
Bifröst, je suis allé, vous rendre à la nature, puisque vous ne pourriez vivre à mes côtés. Je voulais pour une fois choisir votre mort.
Il est venu me chercher Il ne les a pas trouvés
Il était En colère………………………….
……….
Enfin tout allait bien ! La vie –et la mort- était comme toujours…. C’est alors qu’ils sont revenus.
Les deux petits. Sur le pas de la porte, ils pleuraient. Mais il s’agissait du jour de la comète ruth, ce jour là monsieur n’était pas ici.
Dans mes bras, comme des apparitions, j’avais du mal à réaliser leur poids.
Je les ai laissés à la gare, dans l’espoir que la pitié s’abatte sur eux. Que des personnes qui leur souhaiteront la vie, les prendraient, et sinon, eh bien, j’espérais pour eux une mort douce. La mort que donnerais une mère.
Les deux petits. Etait sur le pas de la porte le jour suivant. Mais Monsieur S. n’était pas revenu –voyage d’affaire qu’il disait, moi je m’en fichais-.
Ils me regardaient de leurs grands yeux intrigués. Je pouvais lire sur leur bouille.
Où va-t-on maman ? Maman quand est-ce qu’on a le droit de rentrer à la maison ?
Dans le tube je les ai laissés, les regardant s’éloigner en flottant. J’ai prié qu’il ne revienne plus, j’ai prié. Si fort, que j’ai brisé mes doigts.
Monsieur finit par revenir, les gamins aussi. Et je ne pus qu’expliquer, ne sachant si
Je les condamnais ou les graciait. Ils prirent les deux châtiments.
Et rentrèrent à la maison… …………………………………………………….
De l’abus, de l’abus, de l’abus…je n’avais que cette sensation, sur ma peau, entre mes lèvres, derrières mes paupières. Une sensation de mort prématuré, mes mouvements étaient plus difficiles.
Que m’injectes-tu Monsieur ? Epoux, Père de mes enfants Dors-tu sur tes deux oreilles le soir ? Lorsque mes cries vrillent les miennes.
De tout tes cachets Les piqures Les opérations conscientes Les tests psychologiques inconscients De toutes les décharges Douleurs Tortures Expériences. Je ne suis qu’un vague sujet, Insignifiant
Et il était de même pour eux. Béryllium, Lithium. Chaire horripilante que j’aimais tant, car, ah, ils étaient vivants.
Enfin, de la vie qui sortait de moi, de la conscience qui s’enfuyait de mon corps, prenait vie toute seule. Et je me fichais Que Lithium me fasse pleurer En étant là sans être là Que Béryllium me fasse m’écrouler Lorsqu’il me faisait croire qu’il s’était fait…ah…coupé un bras Arraché les deux jambes Eventré par un fou furieux *tu aimes voir ta mère pleurer Berry ?* Je ne t’ai jamais posé la question, Mais tu n’étais qu’un enfant. Qui pensait que tout cela, n’était qu’un jeu.
Je suppose……. Ou peut-être pas….puisque…. Berry approche…. Berry que fais-tu à ta pauvre mère ….. ? Me pardonnes-tu, m’aimes-tu ? Dis à Lithium que c’est une brave fille, bien plus brave que les plus brave de Bifröst, bien plus grande que n’importe laquelle de ses noblettes aquatique. Dit lui qu’elle est belle, et forte, ne lui raconte pas les histories des princes. Prends soin d’elle….. Prends soin d’elle….
J’étais aveugle, Je ne sentais plus, Il ne me restait que le son. Lorsque tu t’es approché, Cela faisait longtemps Que tu ne t’étais pas approché Et j’ai souris, et tu as dis….. Et j’ai compris…..
Et si j’avais pu je t’aurais collé la plus grande claque que tu aurais eu l’occasion d’avoir. Si j’avais pu j’aurais hurlé :
And who are you, to choose who’s to live and who’s to die ? (you may never see the writing on the wall)
Poor child…
Je suis l’idée d’un scientifique.
Un biologiste.
Un homme éperdument amoureux, de l’incongrue génétique.
Il voulait son monstre, son Frankenstein à lui.
Il n’avait cure de rien d’autre.
Il finit par l’obtenir, mais il ne s’agissait que d’un prototype.
Il décida donc de s’en servir comme brouillon, modèle vivant, en attendant de pouvoir avoir une créature plus complète.
Elle était Belle Sélénium, et il n’avait aucun mal à la briser, lui qui n’était qu’un des nombreux fils portant le nom Schrödinger *mais il serait l’unique, un jour*.
Il l’avait attaché à lui, comme on prend un chien en laisse.
Elle était tout Subissait tout Il était tellement curieux Et elle n’était rien qu’un pauvre manant Qui avait vendu sa sanité au diable.
Il allait la tordre, la mordre, l’enlacer pour mieux l’étouffer. Il allait vider toute sa fertilité, la rendre sèche. La prendre sèche aussi.
Il allait, la transformer en haine, et voir, quelle belle fleur pouvait naître à partir de sa bille.
Et elle lui souriait, tellement innocente, tellement idiote. Sans aucune idée du programme. Le programme de Madame. Epouse de Schrödinger pour le pire Et la postérité scientifique.
Il voulait les parfaits héritier –sujet de recherches incessant, sujet d’ambition, futur prince et princesse. Il rêvait de grandeur, d’une reconnaissance doré.
De son prénom murmuré autant dans le recoin des ruelles, que dans les cafés bien habillé.
Il serait le costard, trop serré Le collier qui éreinte la peau Elle serait parée de la tête au pied Et personne ne verrait les coups et blessures Les perfusions et pansements Les seringues encore planté Les pleurs sur ses joues roulés.
Elle serait sa star, celle qui brille si fort, de ne plus briller. Celle qui se doit de briller pour lui, lui donner quelque chose qui brillerait encore plus, au fond de ses yeux.
Qui brûlera. Déchirera son corps.
Il la voulait en morceaux Il l’avait en morceaux
Il s’amusait à la reconstruire comme il le sentait. Il était un artiste de la vie !
Injection létale. Sa mort était programmée depuis longtemps.
Son plan allait être mis à exécutions
Déjà tellement de vie arraché, donné, tué à nouveau, tellement de chose vue et rien qui ne l’attisait.
Elle ne l’attisait pas assez, Il lui fallait plus, toujours plus. Pourquoi ne lui donnait-elle pas plus ?
Ne lui avait-il pas tout offert lui ?? Un toit, de quoi se sustenter, une raison de vivre,
Une hargne sans égale Une haine sans amour Un combattant seul sur des kilomètres de cendres Un champ de batailles mort. Et il n’y a rien mangé, même pas de cadavres oh, les corbeaux sont déjà passé.
Ont tout pris ;
C’est un soldat sans arme, mais il l’était ne lui-même. Et c’est ainsi qu’il lui fit ingérer, vomir, et remanger, des plantes, de la chaire de קֵיסָרִית. Vomissure. La reproduction ne voulait pas prendre, les éléments étaient trop instables. Mais il essayait toujours, retournait chercher de quoi la renverser. Renverser le cours des choses. Echanger la vie et la mort comme jamais encore. Avoir son nom qui brille oui, il allait l’avoir. Mais l’imbécile à trop réfléchit, elle c’est mise à éprouver de nouveau. Elle a tué l’œuf sans coquille, elle à tout détruit. Et il la détruite. Avant de la reconstruire. Mais le mal était fait, combien de temps encore avant que cela marche de nouveau ? Il ne savait pas, il ne savait plus. Il avait décidé alors, avancé le programme. Il la tuerait bientôt, définitivement. Tout son temps fut dévolu au préparatif. Tout ce qui se passait devait lui devenait poussière dans sa mémoire, il ne se concentré que sur son ultime Engin de torture et de souffrance. Un petit bijou qui aurait fait bander un horloger du haut panier. Exaltation Exultation, Il était impatient mais il se devait d’attendre pour le lui offrir lors de son anniversaire. Il était un mâle polit voyez-vous. Mais le destin tomba, la nature était merveilleuse. Ils n’étaient pas morts. Etaient-ils en vies pour autant ? A lui de le découvrir. Son fils Sa fille Son sang Mais pas seulement Des sujets parfaits, Des sujets soumis a son amour, sa volonté. Il les manipulait, il avait bonne espoir. De les faire haïr leur mère, de les entendre jure que part son nom. Oui il adorait les entendre l’appeler. Il se sentait puissant. Face à ses créatures étranges. Il pouvait les faire hurler aussi, chanter plus aigues que leur mère. Ils l’aimaient toujours. Les enfants sont si dupes. Pensait-il. Car leur bouche pleine, de sourire et de sang, de pleurs et de câlins, le trompait tellement. Qui contrôlait qui ? N’essayait-il pas seulement de survivre ? S’adapter à l’environnement ? Des chats caméléon, caméléon du temps, maître de leurs corps. Il les enregistra comme, « Chat de Schrödinger ». Il s’agissait de sa récompense ultime. Oh s’il avait sut…. Et ils grandirent Lithium n’était qu’une petite écervelée, elle ne faisait pas assez usage de sa force, elle ne voulait pas toujours l’écouter, elle pleurait souvent. Elle était même contre sa nature. Il était si difficile de faire avec elle. Béryllium était une vraie crème. Oui papa, bien sûr papa, tout ce que tu veux papa. Il l’écoutait bien, ouvrait grand ses oreilles, s’intéressait à sa science, s’intéressait à ses outils. Il se sentait important dans les yeux de son fils, Alors qu’il se sentait médiocre dans ceux de sa fille. Il décida de l’enfermer dans une boîte. Mais c’est a ce moment là, peut-être, ou bien avant même, qu’il avait réalisé que Il n’avait peut-être pas enfermé le bon des deux. Peut-être même n’avait-il pas vraiment fait de Lithium sa prisonnière. Mais il n’eut pas le temps de se poser de questions là-dessus car. Soudainement. Il leva par inadvertance les yeux, et aperçu dans le miroir en face de lui. Son tendre fils, pointer une arme sur lui.
Un amour de vie Une chienne de mort Désintégration de parcelle, ravalement complet. Il allait rendre la pareille, boîte pour boîte.
Est-ce la vie, est-ce la mort ? Il ne se souvenait pas de Bifrost. Il y faisait si froid.
Il ne se souvenait pas de la gare Il y avait tellement de monde sans visage
Il ne se rappelait même pas du tube Le flottement avait apaisé ses pleurs.
Mais il se rappelait, assurément, attendre devant la porte, miauler et gratter à celle-ci, transit de froid et de chaud. Il se souvenait, attendre et compter chacun de ses battements cœurs, jusqu’à ce que le battant de la porte tombe, lui laisse la place, et qu’il puisse apercevoir. Le beau visage de maman.
Peut-être avait-il eu faim, peut-être avait-il eu soif, peut-être était-ce son ressenti ou celui d’un autre. Son ressenti et celui d’un autre, ce qui ne fait pas de différence. Car il était à la fois lui et l’autre, toujours, et il en était de même pour ça sœur. Des entités multiples.
Tellement naturel, de ne jamais être seul. Il avait lui-même pour compter sur lui. Il pouvait se tendre la main, se porter.
……………
Ni mère, Ni père, Ni sœur,
L’art de la fuite. La fuite est une prise de position La fuite est un combat à part entière, celui d’une solution. La solution au problème finale. Quel est le problème final Béryllium ? Tuer pour fuir.
Lorsque je pointais ces armes. J’étais là sans être là, là et là-bas à la fois. Entre moi et vous Entre la vie et la mort Entre les parents et les enfants Le pardon et la rancune. Oh désolé d’être rancunier… Mais je me souviens des cries de maman, et surtout
De son silence. … Que valent mes souffrances face aux siennes ? … Que valent mes souffrances lorsque je suis partiellement infini ? … Je suis mon propre élément négligeable. ……………….
J’ai levé les armes, l’une de vie l’autre de…d’oublie. J’ai repensé… Lithium avait l’habitude de se faire frapper tout le temps dans la rue. Et je ne comprenais pas pourquoi. Pourquoi tu te laisses faire ? Pourquoi tu les laisses t’atteindre ? Nous sommes les chats du docteur, nous sommes bien au dessus de tout ça, rappel toi, la belle sensation, la confusion.
L’amour de la confusion. L’amour de l’absolu.
Je lui ai appris, en venant la défendre, je lui ai montré, qu’elle n’était pas seule, car nous sommes légion. A ce moment là j’étais quatre, des adultes en général, j’étais le seul enfant parmi moi-même.
Je ne connais pas la faiblesse. Je leur ai rendu la monnaie de leur pièce.
Balance is everything.
Lorsque tu lance une pièce dans les airs elle tombe sur pile ou face….
Ou la tranche. Toujours cette dernière pour ma part. Lithium me hais, d’apprécier notre nature. Mais c’est pour toi que je fais tout ça, tu comprendras un jour. Lorsque maman sera de nouveau en vie.
………………. AH, c’est vrai
J’avais deux armes, une dans chaque mains, bien que ce ne fut pas les même mains des mêmes corps. Je n’étais véritablement que deux à ce moment là, tous les autres avaient connu des fins tragiques.
Car je suis un scientifique dans l’âme. N’est-ce pas Papa ? Lorsque je suis allé cherche le Dégar 4000, j’ai marché tel un roi le long du couloir. De ce coffre. Fermé à double tour. Mais qui a besoin de clé ?
Lorsque l’on est tout, et rien à la fois.
Tant que tu reste dans la boîte, personne ne peut savoir. Et parfois, j’en viens à oublier, ce que je suis. Dans le carton, la cage en fer.
J’ai volé le prototype, aussi, sans savoir s’il marchait. Mais j’ai tenté le tout pour le tout. Car tant qu’elle sera dans une boîte…sans moyens de savoir.
Le doute est créature de l’infinie
Il est créateur de naissance et décès à part égale.
J’ai pressé les deux gâchettes, et tandis que l’un se désagrégeait (tu l’as bien mérité), l’autre se vidait (tu mérite bien mieux).
Puis je me suis enfui.
Car.
L.I.T.H.I.U.M
Is gonna chase me down.
pseudo
you better get real, real, real
••• âge : - 23 - BDDD nan je dec, mais c'est moi y_y ••• Sexe : huuu ••• Avatar : j'utilise l'artiste Applepie Fasna ••• Et sinon, comment votre fusée s’est-elle posée sur Pulsar ? : si je me rappel bien c'étaait un top site au début ••• Des petites suggestions ou un truc à ajouter ? : de toujours rester ce staff si parfait ? ••• on a pas de question rigolote alors voilà un smiley :
Sujet: Re: >> Be that one guy [reste l'histoire] Ven 8 Aoû - 0:15
(rien avoir, j'ai pas finis mon histoire, mais c'est 2h du mat et j'avais envie ok T_T )
Spoiler:
Prendre et rendre, j’ai tendu et reçu, j’ai été sans et avec j’ai, ressenti, à la même seconde, les sensations.
Puke puke puke it
Je suis un overflow constant, je suis peut-être vous, dans la foule…. Chez votre voisin…. Dans les hautes sphères, Ou encore à traîner sur sparklux,
Je suis.
Et que pouvez vous y faire ? Peut-être enviez-vous cette puissance, mais, ah, Pourquoi envier l’esseulé ?
Puke puke puke it
Je vais remettre de l’ordre dans ce joyeux charivari. Deux flingues, et une bonne dose de self-control. Un demi de vie à demi mots, ça se boit comme du petit lait. Je lèche mes moustaches de délices devant cette overdose continuelle d’émotions.
Ooooh maybe
Vous voulez savoir, dessous le versatile, dessous les enfantillages, dessous ALL THESE BIG SMILE. Ce à quoi vous faites confiance, en tendant vos mains sage oooh j’y fait apparaitre des choses dont vous n’imaginiez même pas pouvoir vous les procurer un jour. C’est de la bonne babe
Hmmmm cabriole ? Demandez en pas trop à un feignant, je suis pas un bicep sur patte. Moi je claque des doigts tel un génie et je fais pleuvoir sur vous, des montagnes de délices. Pas besoin de payer c’est offert par la maison ~ Oh my the heck i didn’t steal it ?!
P.A.S T.O.U.C.H.E
C’est chasse gardé dans ce sac, tu pourrais m’échanger toute tes vies que tu ne pourrais même pas te le payer. DU bonheur en cartouche, une conscience qui ne demande qu’à SHINE AGAIN. Aaah ~ de quoi ? Ouai parfois je me perds, mais si tu savais mon gars l’effet de se défaire et recréer ailleurs de déplacer tout ton corps comme si c’était de l’air. Mais peut-être suis-je de l’air au fond hehehe ? Qui sait ? PAS MOI EN TOUT CAS, AH !
Comment ça mon prologue dure trois plomb, laissez-moi m’amuser un peu, tu ne connais pas le prix de la vie petit, ni le goût qu’à celle-ci.
Tu ne sais pas L’odeur de l’air que tu respire Parce qu’il sent putain de bon.
Juste.
Là
Sent.
Mais je suppose que tu peux pas test, de, toute ,manière. Hehe… Donne moi un job, pour la paye ça peut se discuter (ahahah). Pas de soucis je fais toujours des prix à mes amis, Parce que t’es mon pote n’est-ce pas ? (Shhh n’écoute pas ce que raconte Lithium, elle est un peu vénère comme fille, je suis un mec bien ok ?) Profiteur, moi ? Mais pas du tout Alalala…. … …. ………… ; _ ; TU VOIS COME JE SUIS SAD MAINTENANT ??? BORDEL (Où sont mes cachetons ?) J’y crois pas que tu me fasses pas confiance, après tout ce que je t’ai raconté…quoi justement ? WHUT ?
T’insinue que j’ai un problème, parce que si problème il y a, je suis L’homme de la situation. Je te règle n’importe quel PB en deux secondes top chrono (nan j’dec, on parlait de moi là où quoi ? j’ai déjà zappé en vrai). Hmmm…. Je ne peux pas être plus sérieux, ça va abîmer mon teint. Tu veux que j’ai des rides jeune c’est ça ?? Soit compréhensif. BIG SMILE. Un jour tu comprendras…
(…)
(…………….. j’ai perdu ma boîte)
( tu sais pas ce que ça fait de perdre ça boîte n’est-ce pas ? )
(non toi, là, t’es bien installé, tranquille la vie. T’as pas grand-chose à faire, a part applaudir à chaque nouvelle connerie qu’un pulséen sort. Ah, je ? )
(…..parfois j’oublie ….. ? Oh putain où sont les cachets ? J’en ai besoin pour….pour….)
(Et tu sais quoi ? Je me demande lorsque je vais la relâcher, est-ce qu’elle me prendra dans ses bras en pleur du genre « mon cher fils ! » tu crois ? …j’en sais rien…tu crois qu’elle se souviendra….de nous ? Ca s’rait bien hein, Lithium comprendra enfin où je voulais en venir, et on sera tous ensemble. La belle vie, la petite famille. )
( I got the freackin’ mission to save something that can’t be saved but GUESS WHAT ? I TAKE THE CHALLENGE)
Dit bonjour et en revoir, qui sait…ce que je suis ? Je sais pas ce qui te fait fuir en criant. Moi c’est de m’imaginer le flacon éclaté au sol. HU I WOULD KILL FREACKIN EVERYONE Parce qu’il s’agit de ma dernière chance, de changer la donne. Oh laisses-moi relancer les dés de la vie. Je suis un peu un scientifique (wtf not like HIM) dans l’âme.
So M.O.T.H.E.R would be proud of me ? ….right ….?
[ two path, and I got asked the direction, I didn’t know, it felt pretty dumb to me. Why choose one when I can take both at the same time ? Walk both, experience all, be that one guy, who know…who finally know….]
Sujet: Re: >> Be that one guy [reste l'histoire] Ven 8 Aoû - 22:57
bon alors je dois te faire un pavé pour te raconter l'amour que j'ai eu en lisant ton histoire. je. ogjreopgj je sais pas quoi te dire parce que tout est geniale et j'étais tellemetn dans le truc que j'étais "puain. non. pas la fin. RESTE STP. CONTINUE. D'ECRIRE. L'HISTIURE STP ReIENS "
donc voila je te valide et omg merci
••• Béryllium•••
••• tu es né sur pulsar ! maintenant que tu t'es présenté à lui, le roi te remet ton registre à étoiles et te souhaite une étincelante existence parmi les astres. Bonne chance, et surtout, brille. •••