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Destiny S. Halloway
Destiny S. Halloway
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FICHE : for god's sake
PSEUDO : © memento morri
CRÉDITS : © memento morri
ÂGE : 24


Humain

she was so damn sorry ϟ destiny ; end Empty
Sujet: she was so damn sorry ϟ destiny ; end   Mer 13 Aoû - 1:07



hey sister do you still believe in love i wonder


destiny sully halloway ϟ vingt deux ans ϟ anglaise ϟ deux semaines

Satisfaction ▁ On peut voir beaucoup d'étoiles, c'est beau.
Intégration & avis ▁ Tous différents, j'aime beaucoup interagir avec eux, même si je ne les aime pas tous pour autant.
Avenir ▁ Je maintiens mon statut d'humaine fermement.
Politique ▁ Oh, je m'en fiche de tout ça.
Environnement ▁ Non, je suis bien ici.
Vas-tu briller, humain ▁ Ce n'est pas fait pour moi, ça.

if the sky is falling down for you


Nous allons mourir.
Les nombres, l'argent, rien de tout ça ne régit vraiment le monde. La seule chose importante est le temps qui passe : ce même temps qui définie la vie et la mort, la durée de chaque chose et notre destin à tous, humains. Rien ne peut changer tout ça. Nous allons mourir. Aujourd'hui, demain, dans dix, vingt, trente ans, peu importe, nous mourrons. Et pourtant on continue de se presser, de foncer droit devant, trop enfoncé dans des problèmes d'adultes, on se dit pressé et on se projette pourtant dans quinze ans dans une société aussi simple qu'un jeu d'échec. On ne prend plus le temps, on ne donne pas le temps au temps, on continue juste d'avancer sans faire attention à ce qui nous entoure, nous borde, nous aime, nous détruit. On ne prend plus la peine de se poser des questions, de savoir, de comprendre, on apprend simplement à réciter par cœur les préjugés sans réfléchir à un avis par soi-même, comme de simples automates. Qu'il est stupide, ce monde. Corrompu, pauvreté, misère, famine et guerre, chaque jour un peu plus l'être humain se déprave et s'enfonce dans une crevasse dont il ne reviendra pas, plus, trop aveuglé par la cupidité et l'orgueil qui lui sied si bien, ah, ça se dit être supérieur mais ça n'est que foutu de penser à un pseudo-lendemain qui ne viendra peut-être jamais ; et si demain, tout s'arrêtait ? et si demain, nous disparaissions ? et si demain, nous n'étions plus ? et si demain, la lumière s'éteignait ? personne n'y pense, à la lumière qui s'éteint. Personne, sauf toi. Toi qui profite du temps, toi qui lui pardonne tout ce qu'il te fait, toutes ces écorchures, ces effilochages et ces blessures. Qu'il est cruel, ce monde. Et pourtant, toi, aussi, tu sais l'apprécier, tu l'aimes, tu l'aimes, tu l'aimes, tu aurais beau le répéter que ça ne serait jamais assez pour ton être dévoué. Oh, que tu l'aimes ce monde, que tu le connais et pourtant qu'il te reste tant à explorer ! Oh, que tu l'aimes, ce monde, qu'il va te manquer, quoi que tu dises, quoi que tu fasses, quoi que tu prétendes, peu importe quelle comédie tu fais mine de jouer, cette fois, tu es partie. Cette fois tu ne reviendras pas, cette fois tu ne lui manqueras pas, plus, tu as disparu. Cette fois ton être n'est plus. Et tu te demandes si des larmes coulent pour toi, chaque jour. Pourtant, tu le sais, toi-même, toi qui est si douce, si souriante, si perfide et vile et pourtant si brillante, éclatante, avec ta voix si belle et harmonieuse, toi qui l'aimes, toi qui l'aimes ;

comme lui
comme elle
tu vas mourir

aujourd'hui
demain
dans trente ans

le temps qui passe
s'écoule toujours
tous les jours
un peu plus lentement

alors à quoi bon
s'inquiéter de partir
aujourd'hui ou dans cinq ans ?

there's nothing in this world i wouldn't do



hey sister do you still believe in love i wonder


Que tu es belle,
Que tu es douce,
Que tu es brillante,
Que l’on t’aime, Destiny.

Qu’elle était fière ta Maman quand tu es née, avec ta peau opaline, si douce, si parfaite, dommage qu’il y eut tes yeux, dommage oui ! Ah, tes orbes rouges si indélicates, si imparfaites. Quelle ironie, quelle punition pour toi qui semblait être incarnation de perfection, synonyme du parfait même. Mais ça n'était pas grave, Maman t'aimait. Papa, lui, n'est jamais venu en ce jour de Noël, ni le lendemain, ni les jours d'après, ni les années qui suivirent, ni jamais. Fut-il trop occupé, ailleurs, dans un autre monde où la neige ne tombe jamais, où le Soleil n'est plus, où la Lune ne rit plus, où les étoiles ne pleuvent plus, ah, quel monde bien triste, si triste, dans lequel tu mettras les pieds un jour, sûrement, dans dix, quinze, vingt, ou peut-être trente ans, c'est ce que disait Maman. Dans longtemps, dirait-on, si vite pourtant. Qu'elle t'aimait, Maman, qu'elle était douce, qu'elle était jolie, qu'elle te cajolait, te choyait, t'offrait bonheur qui pourtant n'était pas acquis, dans la misère qui vous berçait, alors tu admirais, toute petite enfant que tu étais, avec tes cheveux bruns, bruns, si longs que tu n'as jamais coupés, tu admirais dans ses yeux dorés ces étincelles de vie qui ont prit feu, un beau jour, une belle nuit, l'ont enflammée, la maison aussi, et la Lune pleurait, les gouttes tombaient, et tu étais partie, tu t'étais enfuie, seule, seule, si seule, toute seule, parce que Maman t'avait sourit, sous la poutre qui lui arrachait des cris, et Maman te l'avait dit. Encore un peu. Juste un peu plus.

Vis.


Alors, pour vivre, survivre, tu as couru, tes pieds nus foulant le sol, ci et là du sang coulant, ci et là des larmes perlant, ta robe blanche pourtant immaculée, malgré les flammes, la cendre, la fumée, tu étais partie, partie, partie loin d'elle, loin de tout, au coin d'une ruelle, à pas de loups, et tu t'étais écroulée, la misère t'ayant dévastée

et tu avais crié
ce soir là
toutes les larmes
de ton corps frêle
Maman
Que tu disais
Maman
Que tu implorais
Maman

Reviens à mes côtés.


Mais elle ne reviendrait pas, plus, tu serais seule désormais, seule face à la destinée, ta jumelle, ta bien aimée, qui te tuait, te brisait, détruisait, qu'elle brillait, pourtant, aux bras du temps, qui lui riait. Combien t'en restait-il, ainsi ? Seule, dans la misère ? à voler pour survivre ? maigre comme tu es ? la maladie viendrait, te charmerait te prendrait et t'emmènerait la voir, la revoir, finir dans ses bras, dans ceux de Papa, celui qui s'en est allé, ce Papa qui revint, ce géniteur qui t'a souhaitée, ce géniteur qui t'a aimée, pendant ces quatre longues années où tu as erré, où tu as sombré, et pourtant, où tu as sourit, où tu as apprit, où tu as pleuré, où tu as périt, perdant ton âme, ton innocence, ton enfance pour découvrir le côté sombre de la vie, la souffrance, la peur, la solitude, le désespoir, l'envie de voir la Mort nous envelopper dans sa cape, nous couvrir de ses bras froids pour abréger nos souffrances, nous réconfortant, tout va bien, tout va si bien. Tu l'as aimée, la Mort, elle a rencontré tant de tes amis, tant de tes compères, eux aussi, errant, eux aussi, si seuls, eux aussi, si tristes, eux aussi, si faibles, si jeunes, petits voleurs.

Mais Papa est revenu.


Quand tu t'es écroulée, dans la rue, quand tu crachais sur les pavés, le bitume, ce liquide écarlate qui te composait, on t'a emmenée, loin de la rue, loin des enfants, loin de la misère. Il est revenu, à ton réveil, te regardait, te souriait, t'a cajolée, t'a pleurée, toi, ta mère, agonisait, doucement, lentement, toi, toi, toi qu'il a dû reniée, toi, toi qu'il a dû abandonnée, toi, sa fille cachée, bâtarde que tu es, toi

Héritière insoupçonnée.


On t'a emmenée, on t'a emmenée, encore, encore, loin de tout, dans un monde où Papa résidait, où Papa t'attendait, où Papa t'eut pleurée, où Papa t'eut enviée, d'être aux côtés de Maman, à chaque heure, chaque minute, chaque seconde qui s'écoulait, oh, qu'il l'aimait, qu'il l'aimait, encore, encore et encore, qu'il était brisé qu'on les ait séparés. Et qu'il était heureux de t'avoir retrouvée. Il te l'a montrée, cette chambre emplie de poupées, de jouets, ni bleue, ni rose, toute rouge, comme tes yeux, les vêtements, les habits, les rideaux, tout ça, tout ça te ressemblait. Que c'était beau, que tu étais touchée, que tu étais émue. Il y avait poussière sur les meubles, le temps les avait abîmés ; il t'avait attendue, attendue pendant toutes ces années, il avait crû à votre retour, votre arrivée. Ce monde qui était si différent de la pauvreté dans laquelle tu étais née, avait survécu, battu, pleuré.

Mais tu as grandit


Dans ce monde en papier-mâché où les poupées sont si jolies, où les jeunes filles sont toutes les mêmes et les jeunes hommes aussi, tu as grandit, grandit, grandit, tu es devenue une femme, le sourire doux, charmant, rêveuse d'un lendemain que tu n'aurais pas, que tu n'aurais plus, que le temps, si précieux, t'as compté, dérobé, enlevé, parce qu'à ce moment là, sûrement, tu as joué un coup que tu n'aurais pas dû, sur ce plateau d'échec géant, quand tu as accepté de vivre ici, de te plonger dans une joie qui chaque jour durerait, assise sur ton lit qui n'a pas changé, jamais, jamais, jamais tu ne ressortirais, tu étais trop faible, douce dulcinée, et tes jours se comptaient, tandis que Papa pleurait, si triste qu'il était. Et toi, et toi, tu désobéissais, tu sortais, tu courais, tu riais, tu chantais de ta voix si douce, si belle, les joies de ce monde, ses tristesses et ses beautés, tu vivais, un peu plus chaque jour, dans la douleur de ce cœur qui périssait, tu aimais, le monde, ses habitants, son beau côté comme le mauvais, tu aimais, le temps qui te volait, la destinée qui te narguait, heureuse de pouvoir encore voir le lendemain s'approcher, l'effleurer de tes doigts, parcourir les rues de ton enfance où tu apportais un peu de joie, de nourriture, de richesse, d'amour dans ce monde si amer et brisé. Et pourtant, pourtant.

Tu es partie.


Pour de bon, loin, loin de tout, loin de lui, loin d'eux, loin de la Terre que tu aimais, tu t'es rapprochée des étoiles, tu t'es rapprochée de la Lune, du Soleil, de tes rêves et des éclats de rire que tu n'entendais plus, qui te manquaient.

Un nouveau monde
à aimer
un nouveau monde
où rire
où périr
où sourire
où mourir
un nouveau monde
pour pleurer
et être libre.


hey sister do you still believe in love i wonder


je suis rererelà encore toujours voilà je sais que destiny a un fan club parce que lacie #pandora hearts #yolo :die: donc j'en ai marre de refaire les présa mais voilà memento morri aka. anarchy & silence, quinze ans & je vous aime ♥♥♥

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Sujet: Re: she was so damn sorry ϟ destiny ; end   Mer 13 Aoû - 1:28
bienvenue sur pulsar destiny!



je ne
sais
pas
quoi
dire omg je
post stp
je sens que je vais etre follement amoureuse. [PUTAIN CE CODE EST BEAU J'AI PRESQUE ENVIE DE FAIRE UN JAKE][no haya plz]
https://pulsar.forumactif.com/
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Humain

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Sujet: Re: she was so damn sorry ϟ destiny ; end   Ven 15 Aoû - 15:08



love. ♥
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Élémentaire

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Sujet: Re: she was so damn sorry ϟ destiny ; end   Ven 15 Aoû - 18:34
d'accord alors je suis peut-être un petit peu amoureuse de destiny
juste un peu
je vous jure
(en plus la musique est vraiment super jolie putain je qsfdsg)

destiny


te voilà arrivé sur pulsar ! le roi donc te remet ton registre à étoiles en signe de bienvenue et te souhaite une étincelante existence parmi les astres.
Bonne chance, et surtout, brille.

Humain, ton Portail t'a déposé sur CASSIOPEIA. Tu peux choisir d'y faire ton premier RP, ou simplement de garder ce fait comme une information !
Pas de chance, ton Portail t'a joué un mauvais tour. TU AS LES CHEVEUX ROUGES pour tes trois premiers posts rp !

n'oublie pas de recenser ton avatar !
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Sujet: Re: she was so damn sorry ϟ destiny ; end   

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